Découvrez le Top 10 des pires films de super-héros…
Xmen : Days of Future Past est disponible en BluRay et DVD depuis cette semaine. Ce 7ème film issu de l’univers des X-men a très largement été plébiscité par le public et la critique devenant sans aucun doute l’une des adaptations ciné de super-héros les plus réussies.
A cette occasion, au lieu de vous parler des meilleurs films de super-héros, nous avons décidé de dresser un Top 10 des adaptations ciné de super-héros ratées !
1. Daredevil, la pire adaptation ciné Marvel !
Sorti en 2003 le film reçoit une sévère giffle de la part des critiques. Certes l’amour rend aveugle (Affleck découvre sa future femme Jennifer Garner sur le tournage) mais ce n’était pas une raison pour que le staff du film ferme les yeux sur la médiocrité du projet. Aflleck a d’ailleurs concédé regretté ce film dans une récente interview : «Vous voyez, si j’apprenais qu’un remake était en préparation, je serais le premier à prendre un panneau et à manifester»
2. Batman et Robin, le nanard par excellence !
Alors là, une bonne tranche de rigolade… Prenez un George Clooney pas vraiment dans son élément, un Robin crypto-gay, des effets spéciaux dignes des Power rangers. Sapoudrez le tout avec des répliques d’un niveau affligeant (dédicace à Schwarzy) et vous obtenez Batman et Robin. Un film à apprécier dans un état second voire tertiaire.
3. Green Lantern, l’arnaque de la décennie !
Habitué du grand écran Ryan Reynold peut nous faire des vertes et des pas mûres. Il faut reconnaitre que le film partait sur de mauvais rails: la bande annonce diffusée au public était loin d’être au point sur la justesse des effets spéciaux. Le film quant à lui sera d’une banalité affligeante, loin d’être vert de honte Ryan Reynold regoutera avec gourmandise à ce type de long métrange avec RIPD brigade fantôme en 2013.
4. Elektra, un bon gros navet !
Chez les Garner/Affleck, on affectionne les bons gros navets cinématographiques. Jennifer Garner a beau jouer de ses lames aux côtés de Kristen Prout, aucunes des scènes n’arrivent à vraiment nous captiver. Quoiqu’il en soit, ça doit sévèrement rigoler le soir chez ce couple Star.
5. Spawn, on en parle ?
Dans le monde des jeux en ligne, un spawn-kill est le fait de se faire tuer dès les premières secondes de la partie. C’est le cas avec ce film sorti en 1997. Un jeu d’acteur mauvais et des dialogues de piètre qualité viennent tuer dans l’oeuf ce film pourtant tiré d’un excellent comic book.
6. Catwoman : Miskina…
Halle Berry, une combinaison en cuir, un fouet : On va pas se mentir, il y avait de la matière pour cette adaptation du comic DC imaginé par Bob Kane et Bill Finger. Mais en plus d’une réalisation navrante, de dialogues absents et d’un jeu pitoyable, c’est surtout la destruction d’un mythe complexe et polyvalent pour un personnage lourd qui attriste le plus. Concernant la fidélité du film à l’oeuvre original, le réalisateur aurait-il donné sa langue au chat ?
7. Superman Returns, un retour affligeant…
Le talentueux Bryan Singer était attendu pour adapter ce mythe. Au lieu de ça, le réalisateur nous pond sereinement une bouse cinématographique : l’acteur bodybuildé incarnant Superman se ridiculise avec ses mimiques surjouées et de grossières erreurs de mise en scène (décors années 40 mixées avec des voitures de 2006) annihilent tout intérêt pour ce film.
8. Captain America : First Avenger ou la first bouse…
Alors que Captain America : First Avenger recevait les louanges de la presse en 2011, l’opus de 1990 est quant à lui tout bonnement insoutenable. Il existe pourtant des navets qui nous font passer un bon moment si on a du second dégré. Ici l’exercice n’est pas possible : Absence de dialogues, Effets spéciaux plus que grotesques mais surtout une manière de filmer pauvre et ennuyeuse conduisent directement ce film dans le Bottom 250.
9. Xmen : L’affrontement final, une catastrophe sans nom !
Xmen l’affrontement final: L’obsession d’Hollywood a toujours vouloir réaliser au minimum une trilogie pour ses licences peut souvent porter préjudice. Après deux épisodes réussis , le troisième volet déçoit. Le film est sans âme, l’ensemble dégage un triste sentiment de déjà vu. Même Wolverine n’arrive plus à tout déchirer.
10. Dragon Ball Z : Evolution, le sacrilège ultime !
Ce dernier n’est pas une adaptation d’un comics mais on a décidé de le classer tout de même dans les films de super-héros. C’est aussi un prétexte on vous l’avoue pour vider notre sac une bonne fois pour toute, parce que là ça devient sérieux. L’oeuvre d’Akira Toriyama a marqué la jeunesse d’énormément de gens et se doit d’être traitée avec respect et admiration. Dans cet étron cinématographique, rien n’est fidèle au Dragon Ball Z que nous avons connu : dialogue, jeu, casting, décors, scénario sont d’une telle molesse qu’en comparaison même l’abdomen à gros BouBou semble être aussi dur que le torse à The Rock.
