Découvrez le nouvel extrait bien dérangé de « Revival »…
Le Slim Shady est de retour ! Après le duo de singles un peu trop mainstream pour être honnêtes, Walk On Water featuring Beyoncé et River featuring Ed Sheeran, Eminem revient à la source de son inspiration avec Framed, un morceau en mode horrorcore qui ravira les nostalgiques de ses débuts.
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Un nouveau morceau horrorcore
Se situant clairement et dans la lignée de ses classiques ’97 Bonnie & Clyde ou Kim, Framed renoue avec le côté psychopathe du rappeur, tant dans les lyrics (cf. les mentions à l’ex-mannequin Christie Brinkley ou à une certaine Ivanka « fille de » Trump qu’il kidnappe et enferme dans son coffre) que dans le flow.
Produit par le revenant Fredwreck (anciennement signé chez Aftermath et Dogg Dogghouse, il a également collaboré avec Britney Spears), le beat a du propre aveu du rappeur énormément influencé son approche du morceau.
« Sur ce genre d’instru vous vous devez de rapper comme un diable, comme une sorte de serial killer. Sérieux, elle est tellement mortelle qu’elle m’a poussé à raconter des trucs de malade (…) C’est désormais l’une de mes instrus préférées de tous les temps. »
Du sang, beaucoup de sang
Et le visu est à l’avenant : Em’ y incarne un détenu incarcéré pour meurtre dont il ne se souvient plus, mais dont il a décrit la survenance dans un texte.
Au début du clip un reportage télé informe ainsi que le rappeur s’est échappé de l’asile, reportage que le rappeur regarde lui-même de sa chambre tandis que cette dernière est encerclée par les forces de police prêtes à en découdre.
S’en suit alors un déchaînement schizophrène de la star qui endosse alors ses multiples personalités (Slim Shady, Marshall Mathers, Eminem).
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