Une révélation accablante.
Les plaignantes se succèdent lors du procès de R. Kelly. L’une d’elles affirme que le chanteur n’arrivait pas à voir ce qui pouvait clocher en ayant des relations sexuelles avec des mineures, mais également qu’il se prenait pour un « génie ».
À LIRE AUSSI
R. Kelly désire vendre son catalogue musical : personne n'en veut
R. Kelly de plus en plus acculé
Ce nouveau témoignage fait froid dans le dos. Au procès de l’interprète de Fiesta, un témoin du nom de Stephanie rapporte un pan des pratiques subies. Relatant un épisode s’étant passé alors qu’elle n’avait que 17 ans (elle est désormais âgée de 39 ans), la victime affirme que R. Kelly s’était autoproclamé « génie », osant un parallèle avec le chanteur rock and roll Jerry Lee Lewis, qui avait épousé sa cousine de 13 ans : « Regarde Jerry Lee Lewis. C’est un génie, je suis un génie. Nous devrions pouvoir faire tout ce qu’on veut. Regarde tout ce que nous offrons au monde. »
Evoquant également des relations sexuelles « humiliantes » avec le chanteur, elle rapportera en guise de conclusion qu’il s’était un jour demandé pourquoi « les gens faisaient toute une histoire » de ses préférences marquées pour les jeunes filles. Ce témoignage s’ajoute à une liste qui n’en finit plus de s’allonger. Un peu plus tôt dans la semaine, une autre victime rapportait une relation sexuelle forcée par R. Kelly avec un homme, et ce, dans le but de la punir.
La même victime affirmera dans la foulée que la superstar déchue lui a redonné son herpès, et l’aura aussi forcé à avorter en 2017.
