Plus en odeur de sainteté du côté du club catalan, ce dernier devrait bientôt faire ses valises…
Pas facile de faire sa place dans un club comme celui du Barça. Durant la dernière décennie, l’équipe catalane a en effet réussi à mettre l’Europe puis le monde à ses pieds grâce à des performances folles et un style tout en finesse bien particulier, fait de pressing haut et de redoublement de passes. Le FCB, c’est donc un géant du ballon rond, un véritable ogre qui compte désormais cinq Ligue des Champions et une multitude de titres nationaux à son palmarès.
Aujourd’hui, malgré une « remuntada » épique face au Paris Saint-Germain, l’institution de la ville de Gaudi tangue pourtant un peu… Eliminée en coupe d’Europe par une Juventus accrocheuse, elle cherche des coupables. Et selon le quotidien Sport, l’un d’eux serait tout simplement un joueur français.
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Jeremy Mathieu, plus désiré par ses coéquipiers?
Le transfert de Jérémy Mathieu de Valencia vers Barcelone avait soulevé de nombreuses questions, mais ce dernier avait répondu présent match après match, le tout grâce une certaine polyvalence. Pouvant jouer latéral gauche, mais aussi défenseur axial, l’ancien joueur de Toulouse et de Sochaux avait su tirer son épingle du jeu. Il y a quelques saisons, il avait même eu l’occasion de marquer un joli but de la tête contre le meilleur ennemi des catalans, le Real Madrid, dans un clasico qui avait tourné en faveur des blaugranas.
Mais désormais, l’idylle semble bien prendre fin. D’après les informations dévoilées aujourd’hui par le journal Sport, Mathieu ne jouera plus jamais avec le maillot du Barça sur le dos. Ses coéquipiers reprochent au joueur son manque d’implication tactique et accusent ce dernier de ne pas comprendre les exigences de son coach, Luis Enrique Martinez. Le tout en pointant l’amour déclaré de l’international français pour la clope :
« Lors du match contre la Juventus, on a eu la sensation qu’il n’avait rien compris aux consignes de Luis Enrique. C’est comme s’il était allé fumer pendant la causerie tactique de l’entraîneur« .
