L’espoir français de l’UFC a donné rendez-vous à ses fans européens en promettant de revenir plus fort…
Suite à sa défaite contre l’Américain Cody Stamann (17-1) en octobre dernier, Tom Duquesnoy a fait un choix radical. Cette fois, il a organisé l’intégralité de sa préparation à Paris, notamment au Skarbowsky Gym (célèbre club de muay-thaï). Samedi soir, pour l’UFC London, il portera toujours les couleurs de la Jackson Wink MMA (le club de Jon Jones, Holly Holm et tant d’autres, situé à Albuquerque aux Etats-Unis), mais il assure être « reparti de zéro ».
L’ascension continue !
Le firekid n’a pas dit son dernier mot. Toujours très suivi par les médias du monde entier, et annoncé comme une future star de la catégorie des poids coqs (61 kg), il tentera de gommer son premier revers à l’UFC, en deux combats.
Son quotidien de combattant est dépeint dans une série en 8 épisodes. Elle est diffusée dès aujourd’hui sur l’application STUDIO+, gratuitement, à condition de profiter de l’offre d’essai. On entre alors en immersion dans le cercle rapproché de Tom, partageant avec lui ses moments de bonheur, de défis et de sacrifices énormes pour exceller dans son domaine. Le tout avec une esthétique soignée et une volonté forte de mettre en valeur les relations humaines, chères au champion.
Un combat de strikers en prévision
Pour son retour, le Firekid sera opposé à un autre type d’adversaire. Après le profil lutteur de Stamman, c’est l’Américain Terrion Ware (17-7) qui tentera de remporter sa première victoire à l’UFC contre Duquesnoy. Avec 6 victoires par KO, c’est un adversaire préférant le combat debout.
« On s’y attend effectivement à moins d’amener au sol. Ce sera l’occasion pour moi d’évoluer encore plus dans mon style d’origine qui est le jeu porté sur les échanges de coups » a déclaré Tom au micro du podcast Takedown.
On peut s’attendre à retrouver le combattant percutant avec ses coudes et ses offensives répétées. Ce ne sera pas sans déplaire à ses fans anglais. Avant son arrivée à l’UFC, Tom avait remporté deux ceintures mondiales dans l’organisation du BAMMA. Il était alors très populaire outre-manche.
