Chaque semaine, je vous propose d’aborder un thème d’actualité sous un autre angle, sans obligation formelle ni aucun tabou. Aujourd’hui, le sujet développé est la folie qui caractérise la Coupe du Monde 2014.
Après avoir connu une période particulièrement moisie footballistiquement parlant ces dernières années, on ne va pas se réjouir du malheur des autres mais presque. Alors que les anglais doivent subir une Booska-Gueule de bois légendaire après s’être noyés dans la bière deux jours durants pour oublier l’élimination de leur équipe, les italiens de leurs côtés doivent déjà chier dans leur froc »vintage » à 400e à l’idée de subir le même sort. Enfin, c’est avec un certain plaisir non dissimulé que j’ai vu le Chili botter le cul des conquistadors espagnols hors d’Amérique Latine. Un clin d’oeil à l’histoire qui a probablement provoqué nombre de « demi-molles » si chères à Vincent Moscato à travers le monde. A croire que la médecine ibérique, ce n’est plus ce que c’était. #tajvedireoupas
Ochoa connait cette poudre.
L’histoire peut parfois être riche en enseignements, sauf pour les ignorants et les avaleuses de sabre qui voyaient encore la Roja faire la loi sur le football mondial. Si aucune équipe étrangère n’a jamais remporté de Coupe du monde sur le continent américain c’est bien qu’il doit y avoir des raisons. La première d’entre elles réside probablement dans les conditions climatiques, les joueurs du vieux continent n’ayant pas pour habitude d’évoluer en altitude avec un taux d’humidité si élevé. Ensuite, l’amour du maillot qui touche les équipes sud-américaines semble décuplé lorsqu’elles évoluent sur leurs terres devant des supporters qu’elles ne sont pas habitués à croiser si souvent. Enfin, et surtout #oueskonva #keskonfé si leurs gardiens commencent à tapper des parades de cocaïnoman à répétitions !
Le paradis des bleus.
Côté européen au contraire, les boites de Lexomyl sont de sortie. Epuisées physiquement par une saison une nouvelle fois beaucoup trop dense, la plupart des nations européennes semblent lassées par la répétition des matches. Résultats, l’Angleterre et l’Espagne déjà dehors et l’Italie et le Portugal en très grand danger, soit autant de favoris potentiellement au tapis dès les phases de poules. Dans ce contexte, la Coupe du monde semble être plus ouverte que jamais notamment pour une équipe de France qui rafale sans retenue depuis le début de la compétition et qui se prend à rêver d’un grand parcours dans ce mondial. Un telle détermination possède son explication…Ils ont toutes les raisons de vouloir rester au Brésil le plus longtemps possible puisque toutes les putes de la planète s’y trouvent jusqu’à la finale…Ce serait con de ne pas en profiter jusqu’au boût.
