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Tidal dans la tourmente et accusé de ne pas payer des labels

Tidal dans la tourmente et accusé de ne pas payer des labels

Tidal multiplie les bad buzz…

Depuis son rachat en 2015 par Jay-Z, Tidal est dans la tourmente. Une plateforme semblant quelque peu instable, multipliant les flops et ne réussissant pas à arriver au niveau des géants du streaming d’aujourd’hui. A tel point que, à peine rachetée, Jay-Z était déjà soupçonné de quitter la plateforme. Aujourd’hui, un nouveau scandale vient s’ajouter à une liste déjà longue : Tidal ne paierait pas des labels avec qui elle travaille.

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La descente aux enfers de Tidal

Le journal norvégien ayant déjà porté de grosses accusations sur Jay-Z la semaine dernière est de retour avec de nouvelles informations, plutôt mal tombées pour la plateforme. Cette fois, le journal accuse donc la plateforme détenue par Jay-Z de ne pas toujours rémunérer les maisons de disques avec qui elle collabore. Trois grands labels norvégiens n’auraient pas touché de royalties depuis plusieurs mois, comme l’explique le PDG de Propeller Recordings, l’un des labels visés par l’enquête : « De plus en plus de personnes envisagent de retirer leur musique de TIDAL, il y a un ras-le-bol général ». Une saturation qui peut se comprendre, surtout quand on apprend que ce même label n’a rien touché depuis le mois d’octobre…

Les affaires de Jay-Z ne s’arrangent pas et ses promesses du début semblent avoir été bafouées. Malheureusement, si les mensonges et les fraudes continuent de s’accumuler, on pourrait s’attendre à voir venir le déclin d’une plateforme déjà à l’agonie…

Jay-Z accusé d’avoir gonflé les chiffres de streams de Kanye West et Beyoncé

La semaine dernière, on apprenait une énième accusation concernant Tidal. Cette fois, le couple le plus glamour du rap aux Etats-Unis était alors accusé d’avoir volontairement gonflé les chiffres de streams des albums Lemonade ainsi que The Life Of Pablo. Les deux avaient ainsi été lancés en avant-première sur la plateforme, et ont été majoritairement boostés par une usurpation des profils d’utilisateurs. C’est donc le journal norvégien Dagens Naeringsliv qui rapporte que Be et Yeezus auraient alors touché une part incroyable de royalties, due à une manipulation sur plus d’1,7 millions d’utilisateurs. En tout, la supercherie s’élève à 320 millions d’écoutes falsifiées.

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