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Orelsan : « Je m’en foutais de rapper »

Orelsan : « Je m’en foutais de rapper »

Orelsan n’était pas vraiment destiné à devenir un rappeur à succès…

Si Orelsan fait aujourd’hui partie des têtes d’affiche du rap français, il peut remercier son acolyte Skread. Sans ce producteur de 32 ans, le rappeur caennais n’aurait certainement pas connu la même réussite. Initialement, le rap ne faisait pas partie des priorités de ce dernier. « On voulait faire des instrus à deux, mais ça ne nous convenait pas. D’ailleurs, c’est Skread, Ablaye et Gringe qui m’ont poussé à rapper plutôt qu’à faire de la production. Ça m’avait un peu choqué d’ailleurs, moi je voulais surtout faire du son, je m’en foutais de rapper, j’y croyais pas trop », révèle Orselan au site Rue 89 (lire l’intégralité de l’article : https://www.booska-p.com/re/h9m412bj7h).

Orelsan était une sorte de Pierre Richard

La notoriété, Skread l’a connue avant Oreslan. En 2004, alors qu’il est encore totalement inconnu au bataillon, il parvient à placer deux beats sur le deuxième album solo de Booba, Panthéon (Tallac et Baby). Il enchaînera plus tard avec Dans ma bulle de Diam’s et la compilation Street Lourd. « A ce moment-là, « Orel » était une sorte de Pierre Richard, un mec qui a un peu la poisse, à qui il arrive des trucs un peu fantastiques mais qui tombent toujours un peu à plat. Ma démarche a été de me dire : il a un vrai univers, on va construire quelque chose autour de ça », se souvient Skread, véritable pierre angulaire des deux albums d’Orelsan, Perdu d’avance (2009) et Le chant des sirènes (2011).

A noter que vous pouvez découvrir ci-dessous une interview exclusive du producteur Skread réalisée à l’occasion de la sortie de son projet Instrus Vol. 2.

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