Le sudiste est de retour.
L’été débarque et avec lui le sud s’exporte… Rendez-vous aujourd’hui avec la dernière sortie du Montpelliérain Lacraps, le clip A ma merci.
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Lacraps en toute humilité [PORTRAIT]
Lacraps est fidèle à ses bases
Lacraps a de sacrées bases et s’en inspire pour se renouveler. Piochant dans le boom bap, il livre un rap en dehors des schémas imposés par l’époque. Il nous le prouve une nouvelle fois dans son nouveau clip, le fameux A ma merci, extrait de son Bombap 2.0 (Deluxe). On se retrouve avec un visuel au naturel, mais ponctué d’effets vintage, réalisé par Tomy Gomez. Rien de mieux pour illustrer ce morceau introspectif dont la production a bien sûr été assurée par Nizi, fidèle collaborateur d’un Lacraps résolument authentique.
Ça parle de brasser, de Paname à Marseille / Mytho, je le sens, ils le sentent, innocent / Plus personne ne l’est, l’être humain sombre dans la bassesse / J’reviens aux racines, 2g dans un gros gare-ci / Pour moi, c’est trop facile / J’pourrais faire tes flows assis
Son projet « Boombap 2.0» (Deluxe), disponible depuis le 25 mai
Le 25 mai dernier, Lacraps faisait l’actu avec la réédition de son projet Boombap 2.0. Un opus retravaillé avec pas moins de 20 tracks au compteur, de quoi contenter une fanbase qui a apprivoisé son délire… Avant de réaliser une grosse performance dans son freestyle Booska Crapuleux, il nous en avait d’ailleurs dit un peu plus sur son concept en interview :
« Boombap 2.0, c’est parce que c’est un mélange entre le boom bap un peu traditionnel et les nouvelles méthodes. New school ça veut plus rien dire, là en ce moment y’a Rémy, Moha la Squale, un peu plus de trucs boom bap, mais c’est des cycles. Mais en vrai ça ne veut pas dire grand-chose, c’est les trucs classiques, avec un peu de modernité ».
