Le rappeur propose un univers particulier…
Le game hexagonal compte des artistes complets, qu’il est impossible de placer dans une case ou un autre. Rappeur sans étiquette, Disiz La Peste est du genre à dicter les règles de son propre jeu. Il le prouve aujourd’hui avec la sortie d’un clip deux en un, la mise en images des titres Kaiju et Disizilla. Comme pour celui d’Hiroshima, on a droit à un univers visuel assez dingue…
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La peste est méchamment de retour
Parler de ses blessures et de sa volonté de faire mal, le tout dans une atmosphère apocalyptique, voilà ce que fait Disiz La Peste aujourd’hui, dans son double clip. Il forme sa propre mythologie en choisissant de faire référence à des choses assez bizarroides, comme dans « Kaiju » produit par Dabeull. Kaiju signifant rien de moins que « créatures étranges » en japonais. Même son de cloche dans Disizilla, dont l’instru est signée Prinzly, qui est inspirée du célèbre monstre du pays du soleil levant… Puissant dans ses lyrics comme dans l’image, puisant dans plusieurs flows, Disiz n’aura pas fait les choses à moitié.
Enfant de foyer, choyé par une vie brute / Gosse irradié par la rue dans la zone du secteur sud / Tout ça a fait de moi un mutant #Akira / Un mélange explosif, je suis Disizilla
Son album « Disizilla » disponible le 14 septembre
Un an après la sortie de son album Pacifique, Disiz est déjà de retour avec un nouvel opus. Déjà le 12ème projet de la carrière d’un rappeur qui évolue selon ses propres codes. Le 14 septembre prochain, les bacs et les plateformes de streaming recevront donc un objet particulier, baptisé Disizilla. Déterminé à montrer les dents, Disiz aura notamment collaboré avec Sofiane (Enfant des rues) et même Niska (Cercle Rouge) pour une connexion 100% 91. Voilà qui promet !
