Quand le rappeur se confie…
Après avoir marqué les esprits dans son freestyle Booska PNM, PLK est de retour sous nos caméras pour une interview. Quelques jours après la sortie de son album Polak (5 octobre), le rappeur revient sur son parcours.
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PLK revient sur son parcours et la préparation de son album
Avec plusieurs mixtapes à son actif et une expérience au sein du Panama Bende, PLK a enfoncé le clou avec un tout premier album. Un Polak personnel et impactant qui a laissé de la place aux origines de l’artiste, à une technique au-dessus de la moyenne, mais également aux featurings car on compte SCH, Nekfeu et le Polonais Paluch sur la tracklist. Des thèmes tous abordés par PLK face à nos caméras…
Ses liens avec la Pologne : « Depuis tout petit, mon père me répète qu’on vient de là-bas. Il m’explique l’histoire de notre famille, on a un blason, c’est très ancré. (…) Je me suis toujours dit que mon premier album s’appellerait Polak. Je voulais faire quelque chose en relation avec la Pologne et mes origines. J’y vais souvent, c’était un passage obligé. Je fais du rap aussi pour le revendiquer, ça fait partie de moi. »
Sa vision du game : « C’est assez particulier. En gros, je sors dehors, je vais dans tout ce milieu du rap, je prends mon argent et je le ramène à la maison, je profite avec mes gars et ma famille. C’est un peu ça l’image que j’ai en tête, je chasse et je ramène le gibier à la maison. »
Nekfeu : « On se connaît depuis longtemps (…), c’est pour ça que ce feat a un goût particulier pour moi. On n’a pas voulu faire un single, mais plus un morceau où on kiffe une vibe. On s’est fait plaisir, c’est vraiment une histoire de kiff . »
SCH : « J’ai kiffé la manière dont ça s’est fait, car c’était super simple. Il fait partie des gros du rap français, mais ne se prends pas la tête. J’ai grave kiffé cette ambiance-là, c’est aussi le côté humain qui est bien passé. »
