Les pertes ont affolé l’organigramme…
Malgré la vitrine, Disney est dans le dur. En cause, la fermeture prolongée de son parc Disneyland. De ce fait, l’entreprise a décidé de trancher dans le vif. Explications.
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Disneyland toujours fermé…
Alors que le coronavirus n’en finit plus de bouleverser le quotidien de l’humanité, les entreprises de toutes les envergures se voient obligées de faire face à des difficultés imprévues. Aux Etats-Unis, Disney souffre : Disneyland, fermé depuis maintenant six mois, représente un manque à gagner conséquent. Ainsi, les dirigeants ont pris une décision, celle de supprimer plus de 28 000 emplois sur les 223 000 que Disney comptait au 31 décembre 2019. Les deux tiers de ces emplois bientôt supprimés sont des temps partiels.
Cette décision vient de « l’impact prolongé du Covid-19 sur nos affaires, y compris les réductions de capacité sur les sites, en lien avec la distanciation physique, et les incertitudes sur la durée de la pandémie » justifie le numéro un mondial du divertissement dans un communiqué. Si certains autres parcs Disney ont pu rouvrir aux Etats-Unis et en Asie, la Californie refuse que Disneyland rouvre ses portes à Anaheim, près de Los Angeles. Sur le troisième trimestre de son exercice décalé, Disney a accusé une perte nette de 4,7 milliards de dollars.
