Le latéral droit du club marseillais a pour habitude d’être la risée du Vélodrome…
Avec l’OM, c’est souvent tout ou rien. Si de nombreux joueurs ont su profiter du « contexte marseillais » pour se révêler au plus haut niveau, d’autres ont eu le malheur de subir rapidement les foudres d’un Vélodrome aussi passionné qu’exigeants. Une difficulté parfois impossible à surmonter pour les plus fragiles…
Débarqué à l’OM en 2011, le joueur a rapidement été pris en grippe par les virages en raison de prestations parfois stupéfiantes de faiblesse…Alternant depuis le bon et le moins bon, Jeremy Morel continue d’être la cible préférée des supporters… Un quotidien auquel il a du s’accomoder bien malgré lui avec une certaine amertume.
« Depuis le début, je suis la tête de Turc. Je me suis fait une raison, que je joue bien ou mal ce sera pareil. Quand on a quelqu’un en ligne de mire, on cherche la moindre faille, la moindre faiblesse. Je sais qu’ici, je n’ai pas le droit à l’erreur, c’est comme ça. Cela sera toujours le cas jusqu’à ce que mon contrat se finisse. » regrette-t-il lors d’une interview avec le site officiel de l’OM.
