Même s’il n’est plus vraiment médiatisé, Kamini poursuit sa carrière d’artiste…
Souvenez-vous : en 2006, Kamini se révélait à la France entière grâce au titre Marly-Gomont. Bénéficiant d’un énorme buzz sur la toile, ce morceau a propulsé son auteur-compositeur-interprète sous le feu des projecteurs. L’année suivante, l’artiste d’origine congolaise décrochait même le prix du clip de l’année aux Victoires de la musique pour le clip de ce tube et sortait l’album Psychostar World, qui sera certifié disque d’or.
Je ne me suis pas embourgeoisé à Paris
Après un deuxième opus paru en 2009, Extraterrien, Kamini s’est fait un peu plus discret médiatiquement. « Je ne me suis pas embourgeoisé à Paris, je ne suis pas devenu jet-setter. Ma vie a très peu changé depuis Marly-Gomont. J’ai toujours des potes et la maison de famille à Marly-Gomont », expliquait-il au Courrier Picard au mois de décembre dernier.
La scène est mon moyen d’expression
Aujourd’hui, Kamini défend son one-man-show, Il faut que je vous explique. « J’aborde tous les sujets sans tabou, du quotidien à l’histoire du monde et de la politique, en passant par ma propre existence, avec autodérision, humour et des accents à couper au couteau. J’explique ce que je pense, ce que j’ai fait, avec des jeux de mots et une générosité explosive. Mes cultures africaine et chticarde offrent au public un stand-up original et drôle. La scène est mon moyen d’expression », assure le natif de Nouvion-en-Thiérache dans l’Aisne (Picardie, France) au site Telex Var.
