Actualités Sport

Top 10 : Ces footballeurs qui auraient dû faire infirmières [DOSSIER]

Top 10 : Ces footballeurs qui auraient dû faire infirmières [DOSSIER]

Le métier de footballeur professionnel est un métier à haut risque…

Ils pourraient se faire les croisés rien qu’en écoutant un single de Jul… Si pour tous les sportifs de haut niveau, la blessure reste la principale hantise, certains d’entre eux se sont bizarrement spécialisés dans la discipline. De la quadruple fracture de la hanche en glissant sur un belvédère de Grey Goose en passant par une épaule déboitée par un caniche tirant un petit peu trop sur la laisse, de nombreux joueurs de classe mondiale ont vu leurs carrières être freinées par la multiplication des blessures. Nous avons rassemblé et classé pour vous les pires cauchemards de la sécurité sociale, les plus gros déglingueurs d’assistantes médicales et les plus grands fragiles du football international.

Abou Diaby : En Angleterre, il se murmure que les écoliers apprennent à compter en faisant l’inventaire de ses blessures…Depuis son arrivée à Arsenal en 2006, l’ancien auxerrois a connu 41 blessures avec une polyvalence des zones touchées qui inspire le respect. Le joueur n’a disputé que 22 matches depuis 2011 avec les Gunners ! Et dire qu’il ne se considère pas comme un joueur fragile…

Yoann Gourcuff : Si l’on pouvait se faire un claquage psychologique, probablement qu’il aurait déjà tenté l’expérience. 22 millions d’euros, c’est la somme déversée par l’OL pour acquérir le joueur…Plus de 100 000 euros, c’est ce qu’il a couté à la sécurité sociale avec à son actif presque autant de blessures que de buts pour l’OL (18 blessures pour 22 buts). Depuis 4 ans, le breton creuse son trou ainsi que celui de la sécu, passant du statut d’espoir du football à celui de vétéran des hopitaux.

Djibril Cissé : A l’image de Nabilla, il a tellement connu d’interventions qu’on ne sait plus vraiment ce qui est vrai ou faux chez lui. Par deux fois, celui que l’on pensait être une machine, tant ses capacités physiques étaient impressionnantes, s’est retrouvé sur les rotules…au sens propre du terme. Deux fractures tibia-péronnées plus tard (en 2004 et 2006) l’attaquant français totalise tout de même 256 buts en carrière…Pas si mal pour un chat noir.

Ronaldo : Au final, il n’y a pas que son genou qui a gonflé. Celui que l’on qualifie à juste titre de « meilleur attaquant de l’histoire du football » a pourtant connu une carrière marquée par les blessures (et les prostitués ;-) ). Star inégalée, Ronaldo se blesse gravement au genou en 1999…Six mois plus tard pour son match de reprise, R9 remet ça…Au total il restera éloigné des terrains plus d’un an. Une coupure qui a laissé des traces mais qui ne l’empechera pas de continuer de mener une carrière extraordinaire jusqu’en 2011 avec au total 428 buts inscrits.

Shabani Nonda : Alors à l’apogée de sa carrière avec un titre de meilleur buteur de Ligue 1 à la clé, le joueur de 26 ans est victime d’un attentat du célèbre boucher martiniquais José Karl Pierre-Fanfan. Résultat, arrachement des ligaments du genoux gauche, 8 mois d’indisponibilité…Par la suite le joueur évolue en Italie, en Angleterre et en Turquie sans jamais retrouver sa fougue d’antan…On dit merci qui?

Petr Cech : C’est le seul footballeur à avoir suivi la tendance du ballon ovale. Victime d’une fracture du crane en 2008 suite à un choc avec Stephen Hunt (Reading), le portier de Chelsea a été opéré en neuro-chirurgie et porte depuis le fabuleux casque qui fait fureur dans les mêlées du Top 14. Un look ultra tendance qui ne l’a pas empêché de se voir relayer sur le banc par le jeune Thibaut Courtois…L’histoire ne dit pas si ce choc lui a permis d’oublier son passage au Stade Rennais.

Julien Rodriguez : Il aurait du intégrer l’équipe de cantine du centre Robert Louis-Dreyfus. Touché au cartilage du pied en 2008, il passera presque 3 ans sans jouer à l’OM qui lui versera tout de même son généreux salaire et aura même l’ingénieuse idée de le prolonger pour 2 ans avant de le licencier en 2011…C’est vrai que c’est con de filer un salaire de footballeur à un intendant du club.

Alvaro Recoba : Ce qui est bien avec PES, c’est qu’on pouvait jouer avec l’uruguayen sur toute une saison…C’est ce qui sépare réalité et fiction. Incroyable tireur de coup-franc, le milieu de terrain a bénéficié d’un crédit exceptionnel pour un joueur tournant à une moyenne de 20 matches par saison. Audacieux, il avait trouvé le moyen d’être suspendu pour de longues durées lorsqu’il n’était pas blessé grâce à l’ingénieuse technique des faux passeports.

Michael Owen : Pour le voir sous son meilleur visage il fallait se lever tôt. Un but légendaire en 98 lors du mondial à seulement 18 ans, puis deux titres de meilleur buteur de Premier League, une Coupe de l’UEFA et un transfert en grande pompe au Real puis…plus rien. Un statut de remplaçant à Madrid puis un retour ponctué de blessures et d’apparitions fantomatiques sous les maillots de Newcastle et Manchester United…Rien d’étonnant pour un joueur qui à 30 ans passés avait encore le corps d’un collégien sous zet’la.

Jay-Jay Okocha : C’est le seul joueur du monde à être capable de briser ses propres reins par ses dribbles chaloupés. Phénomène du mondial 98, le nigérian débarque à Paris avec le statut de star et de joueur le plus cher de l’histoire du championnat de france. S’il fera dégueuler nombre de défenseurs de l’hexagone grâce à ses feintes, ses blessures à répétitions finiront par faire de lui un joueur inconstant de clubs de secondes zones (Bolton, Qatar SC, Hull City)

Dossiers

VOIR TOUT

À lire aussi

VOIR TOUT