Le combattant s’est exprimé sur les réseaux sociaux.
Il y a quelques jours, le combattant américain était arrêté par la police de Los Angeles pour des faits de violences conjugales. Aujourd’hui, Bones dément ces accusations sur les réseaux sociaux.
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Les faits remontent à la fin du mois de septembre. En pleine préparation de sa montée chez les poids lourds de l’UFC, Jon Jones se rendait à Las Vegas afin d’assister à l’intronisation au Hall Of Fame de la ligue de l’un de ses combats. Quelques heures plus tard, le natif de Rochester était arrêté par la police californienne pour des faits de violences conjugales. Depuis, l’homme de trente-quatre ans n’a pas le droit de se rendre dans sa salle de sport tant qu’il n’a pas réglé ses problèmes d’addictions. L’UFC semble de son côté attendre la décision de la justice avant de faire un choix.
Suivi par plus de 2,5 millions de personnes sur Twitter, Jon Jones s’est confié sur le réseau social. Dans plusieurs messages, le combattant déclare : « J’aime la façon dont les gens imaginent la pire situation possible dans leur tête et la rendent d’une manière ou d’une autre factuelle. Je n’ai jamais frappé ma fiancée et nos filles ont été réveillées après notre confrontation. Mes filles ne nous ont pas vus ni entendus nous disputer. C’est vraiment la seule chose que je tiens à clarifier… en dehors de ça, hâte d’aller de l’avant sans alcool. C’est la première fois de ma vie que je suis prêt à arrêter. Heureux d’avoir le soutien de ma fiancée, de mes amis, de ma famille et des fans. »
