C’est l’avocat de l’artiste, Bradford Cohen, qui l’a déclaré.
C’était une décision très attendue, c’est désormais officiel : Lil Wayne a bénéficié d’une grâce présidentielle de Donald Trump à l’occasion du dernier jour de l’homme d’affaires en tant que Président des États-Unis. Au même titre que Weezy, Kodak Black a également connu le même sort. Pour l’avocat du rappeur de La Nouvelle-Orléans, le rapprochement entre son client et Donald Trump n’avait rien de calculé.
À LIRE AUSSI
Lil Wayne et Kodak Black graciés par Trump !
« Je pense qu’ils avaient un lien très fort »
Il y a quelques semaines, alors que Donald Trump visait à briguer un deuxième mandat de suite à la Maison Blanche, Lil Wayne avait apporté son soutien à l’homme d’affaires. Conspué par ses camarades rappeurs, l’artiste de 38 ans avait même rencontré le milliardaire et appelé à voter pour ce dernier. Poursuivi pour des faits de port d’arme, le rappeur risquait jusqu’à dix ans de prison. Aujourd’hui, le rappeur a officiellement été gracié par l’ex-Président des États-Unis. Alors que de nombreux détracteurs ont vu le rapprochement entre Lil Wayne et Trump comme une façon de se mettre à l’abri pour le rappeur, l’avocat de ce dernier est monté au créneau.
Dans un entretien accordé au New York Times, Bradford Cohen a d’abord nié toute stratégie d’approche de la part de son client. L’avocat est ensuite revenu sur la relation entre ce dernier et Trump. Cohen a déclaré : « Cela ne fait jamais de mal que quelqu’un comprenne parfaitement un individu alors que les deux regardent simplement un morceau de papier […] Je pense qu’ils avaient un lien très fort. Il est dans le monde du divertissement. Il a un style similaire dans la façon dont il se comporte, et beaucoup de rappeurs et de gens de l’industrie se rapportent à cela ».