Le DJ hausse le ton.
DJ Quik ne veut pas du chèque émis par Death Row. Plutôt, la célébrité réclame le crédit qui lui est dû pour son travail avec 50 Cent, Nelly ou encore 2Pac.
À LIRE AUSSI
DJ Quik fait croire qu'il s'est fait tirer dessus pour le 1er avril
DJ Quik perd patience
La situation s’envenime entre l’ex-producteur de Death Row Records et le label en question. Sur Instagram, DJ Quik s’est filmé en train de brûler un «petit» chèque de royalties, émis par la firme qui aura pendant un temps accueilli 2Pac, Snoop Dogg et Dr. Dre. Face caméra, Quik se dit «offensé» par le montant du chèque en question, affirmant avoir le droit d’être compensé de manière plus conséquente étant donné le travail fourni pour Death Row : «Je ne suis pas content. Je suis offensé par le montant de ce chèque de Death Row. Etant donné le travail fourni pour ces fils de p***, j’ai l’impression que le respect est absent. Il n’y a aucun respect. Tout le boulot que j’ai fait pour 2Pac. J’ai fourni un coup de main sur le projet Tha Dogg Pound. Devil, t’es une sal***». Dans la foulée, Quik demandera le crédit pour son travail sur Hot In Herre de Nelly, King Kunta de Kendrick Lamar, Home Alone de R. Kelly ou encore In Da Club de 50 Cent. Autant le dire, une série de classiques : «Je veux mon argent, et je veux le crédit qui me revient pour tout ce que j’ai fait pour cette industrie. Tous les titres […] Aucun manque de respect pour Kendrick. Je vous aime, les gars de TDE, vous êtes géniaux. Mais le fait que j’ai laissé mes crédits pour King Kunta, c’est fou».
Un avertissement entendu
En guise de conclusion, Quik lancera un avertissement : «Je veux tous le crédit qui me revient. Je suis arrivé à un moment où je manque de patience, et je sens un manque de respect. Je ne vais pas être le perdant de l’industrie musicale. Je vais être respecté comme le roi et le seigneur que je suis – un Dieu dès qu’on parle de production».
