L’enfant du siècle poursuit sa route…
Si certains le considèrent comme un artiste inclassable, lui s’en moque complètement. Rappeur complet, Lord Esperanza se plaît à distiller une musique dont lui seul a le secret. Performant sur plusieurs supports, il sait marquer le coup aussi bien dans ses visuels que dans ses punchlines. Aujourd’hui, il le démontre une nouvelle fois à la toile grâce à son tout premier freestyle dans nos pages, intitulé Booska Mort ou vif.
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Une performance à retenir
Particulièrement productif et souvent sur les routes pour des lives de haut-vol, Lord Esperanza a pourtant pris le temps de performer devant nos caméras. Rendez-vous à Saint-Quentin-en-Yvelines pour mettre en boîte un sacré freestyle, plus précisément du côté de la place d’Espagne, du quartier de la Sourderie et des arcades du lac. Cela donne un patchwork de paysages qui illustre parfaitement le délire d’un enfant du siècle décidément sûr de lui. C’est aérien, impulsif et terriblement insolent. Si ses ennemis veulent le voir Mort ou vif, le Parisien récemment croisé dans le Cercle n’en a que faire.
Il n’y a qu’un roi du monde, que je me lève / Moi j’arrive en retard, sourire aux lèvres
Son projet « Internet » disponible depuis le 22 juin
Début juin, Lord Esperanza avait défrayé la chronique avec Noir Remix en compagnie de rien de moins que Chilla, Nelick, Eden Dellinger, Lasco, Zamdane, Youri, Lucci et Lonepsi. Un son dédié notamment à l’association l’Atelier des Artistes en Exil, qui vient en aide aux réfugiés. Un acte à souligner, qui vient donner du corps aux propos d’un Lord Esperanza qui cherche à motiver son auditoire, le faire aller plus loin.
Hyperactif, il aura d’ailleurs proposé ce fameux morceau dans son dernier projet. Un Internet disponible depuis le 22 juin, doté de 7 morceaux de haut-vol. A ne pas manquer également, le superbe clip éponyme qui a fêté la sortie de l’EP.
