Comme chaque semaine, Booska-P met à l’honneur une personnalité qui a marqué une époque avant de retourner plus ou moins dans l’ombre…
Le qui est-ce consiste à rappeler aux internautes, des personnages qui ont marqué l’histoire de la musique, du sport, du cinéma etc…durant une certaine période avant d’être aujourd’hui retombés dans un relatif anonymat. Booska-P vous rafraîchit la mémoire en vous rappelant les faits de gloire de l’un d’entre eux.
Il fût un temps pas si lointain où à Marseille, les performances de l’OM était tellement dégueulasses qu’un joueur moyen formé au PSG pouvait tout à coup devenir le leader de l’équipe et par conséquent le chouchou du vélodrome. C’est ce qui est arrivé, un peu par hasard, à un milieu de terrain franco-algérien qui n’avait de zidanesque que la calvitie…
Débarqué on ne sait vraiment comment à l’OM en 1997 après avoir fait ses gammes au centre de formation du PSG et à Martigues, Belmadi est rapidement prêté à Cannes puis au Celta Vigo. En 2000, l’OM connait un déclin monumental qui lui fait frôler la relégation, soudainement, Belmadi trouve sa place dans un effectif où les Blanc, Pires, Gallas et consorts ont laissé place aux Torrisi, Olembe et Bakayoko. C’est dans ce contexte favorable que Belmadi va écrire la plus belle page de sa carrière, l’une des plus tristes de l’OM.
