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Les championnats du Monde de kickboxing le 9 mars à Strasbourg !

Les championnats du Monde de kickboxing le 9 mars à Strasbourg !

Anissa Meksen et Cédric Doumbé remettent leur titre en jeu !

Les amateurs du genre seront conquis, samedi 9 mars à Strasbourg aura lieu la 64ème édition des championnats du Monde de Kickboxing. De quoi voir des combattants au rendez-vous, et surtout une sacrée foule de talents français !

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Cédric Doumbé, le punch-showman ! [PORTRAIT]

Le GLORY 64, un évènement à ne pas manquer !

A l’heure où les sports de combat se font de plus en plus présents dans l’univers médiatique, le kickboxing n’a rien perdu de sa force. La preuve avec GLORY, leader international dans l’organisation d’événements de sports du genre, qui débarquera le 9 mars avec du très lourd du côté de Strasbourg.

Au Rhénus Sport Arena, le GLORY 64 fera la part belle à deux stars du moment, nos frenchies Anissa Meksen et Cédric Doumbé. Deux talents qui remettront leur titre de champion du monde en jeu. De sacrés noms suivis d’autres à ne pas rater chez nos représentants hexagonaux, tels que Abdellah Ezbiri, Daniel Krost, Guerric Billet, Michael Palendre, Mathieu Ceva et Zinedine Hameur Lain.

Vous l’avez bien compris, le 9 mars, c’est à Strasbourg que ça se passe, avec les meilleurs combattants français et internationaux !

Places et informations disponibles ci-dessous :

Glory 64 Strasbourg / Samedi 9 mars de 16h30 à 23h30 / Rhénus Sport Arena /

Cédric Doumbé est prêt !

Connu pour son talent à jouer du trash talking, Cédric Doumbé n’a pas déçu face à Booska-P ! En interview, celui qui tentera de récupérer son titre de champion du monde des welters contre l’arménien Harut Grigorian n’a pas fait dans la demi-mesure en répondant à nos questions. Si vous doutiez de la détermination du bonhomme, sachez qu’il a en a encore dans le moteur :

« C’est un boxeur qui a un seul atout : il frappe fort. Il a des enclumes dans les poings. Mais il a beaucoup de défauts, il n’est pas très intelligent dans sa boxe, pas rapide, pas technique du tout. Il n’a rien à part ses gros crochets. Sur le papier, il n’a rien pour me battre. Mais il faut que j’aborde ce combat comme un championnat du monde. La boxe ce n’est pas des maths. C’est difficile de ne pas le sous-estimer. Mais il faut prendre au sérieux chaque combat. (…) Dans les premiers rounds je vais esquiver et lui casser les jambes. Je ne vais pas chercher à mettre KO. Je vais d’abord lui briser les fondations pour ensuite, pourquoi pas, le mettre KO avec mon anglaise. Si le combat va aux points, je n’ai absolument pas peur de la décision. »

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