Une belle reconversion pour un mythe du ballon rond.
Star du ballon rond, Adriano a vécu des épisodes difficiles dans sa carrière… Aujourd’hui âgé de 36 ans, celui qu’on surnommait l’empereur s’apprête pourtant à signer une reconversion pleine de panache. En effet, l’attaquant se lancera bientôt dans le cinéma, rien que ça !
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Alcoolisme, dépression… Adriano passe aux aveux
Deux projets pour l’ex-footballeur
Selon la presse italienne, tout est déjà bien calé pour l’ancien joueur de l’Inter. Il aurait signé un contrat avec la société de production Bananeira Filmes, avec déjà deux projets dans les tuyaux. Dans le premier, un documentaire prévu pour 2020, Adriano reviendra sur son enfance dans les favelas, son parcours au plus haut-niveau, mais également sa dépression (voir quelques lignes plus bas). L’autre production donnera dans un tout autre style, car il s’agit d’une comédie ! Mais pour l’instant, rien n’a encore filtré…
Quand Adriano passe aux aveux
Dépression, alcool… Adriano a connu un gros passage à vide une fois arrivé en Europe. Une période sur laquelle l’auriverde s’est confié, des propos relayés par L’Equipe il y a quelques mois :
« La mort de mon père m’a détruit. Je me sentais seul. Je n’ai trouvé le bonheur qu’en buvant, je le faisais tous les soirs. Je me sentais très seul. J’étais triste et déprimé en Italie : alors j’ai commencé à boire. C’était la seule chose qui me rendait heureux, j’ai tout bu : du whisky, du vin, de la vodka, de la bière. Surtout de la bière, beaucoup. Je ne pouvais pas m’arrêter et j’ai donc dû quitter l’Inter.
Je me saoulais toujours avant les séances d’entraînement. Je ne voulais pas montrer ma situation, je ne voulais pas manquer les séances d’entraînement. Un jour, le staff m’a emmené dormir à l’infirmerie. L’Inter m’a couvert, il a dit à la presse que j’étais blessé, que j’avais des problèmes physiques. Puis j’ai réalisé que les gens autour de moi étaient un problème : mes amis ne m’ont jamais aidé. Ils m’ont toujours emmené à des fêtes avec des femmes et de l’alcool, sans penser à rien d’autre. (…) De retour au Brésil, j’ai abandonné les millions, mais j’ai trouvé le bonheur ».
