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40 anecdotes pleines d’audace sur Mohamed Ali, le Greatest

40 anecdotes pleines d’audace sur Mohamed Ali, le Greatest

Parti il y a cinq ans, le plus grand sportif du 20ème siècle aurait ce 17 janvier fêté ses 78 ans…

1. Mohamed Ali s’est mis à la boxe le jour où il s’est fait voler son vélo.

Âgé de 12 ans, Cassius Marcellus Clay s’en va déposer plainte, non sans jurer de « botter le cul » du voleur s’il le trouve. C’est alors que le policier blanc en face de lui, Joe E. Martin, lui conseille d’apprendre tout d’abord à se battre et l’invite pour ce faire à rejoindre le club de boxe où il officie comme entraîneur.

Six semaines plus tard, sous la tutelle de Martin, Clay remporte son premier combat amateur.

2. Très ironiquement, pour son tout premier combat pro il a affronté un policier blanc, Tunney Hunsaker, commissaire dans la bonne ville de Fayetteville.

Clay s’est imposé par décision unanime en six rounds.

3. Pour travailler ses réflexes et sa rapidité, le jeune Cassius s’entraînait à éviter des pierres que son petit frère Randy lui jetait dessus.

« C’est lui qui me demandait de le faire. Je pensais qu’il était fou, mais je n’ai jamais réussi à le toucher. Pas une seule fois. »

4. Fait peu connu, ce même Randy, rebaptisé Rahman Ali, a évolué chez les professionnels de 1964 à 1972 (14 victoires, 3 défaites, 1 nul).

5. Mohammed Ali avait des origines irlandaises.

Débarqué aux États-Unis dans les années 1860, son arrière-grand-père, Abe Grady, avait quitté Ennis, une petite ville de l’ouest de l’Irlande, à la recherche d’une vie meilleure.

En 2010, Ali s’est rendu sur place pour rencontrer les membres de sa famille lointaine.

6. Contrairement ce qu’il a longtemps raconté, Mohammed Ali n’a jamais jeté sa médaille d’or olympique au fond d’une rivière.

Monté sur la première marche du podium dans la catégorie des mi-lourds au JO de Rome en 1960, il a écrit dans sa première autobiographie publiée en 1975, The Greatest, s’être débarrassé de sa breloque après s’être vu refuser d’être servi dans un restaurant en raison de sa couleur de peau.

Dans sa seconde autobiographie intitulée L’Âme du papillon publiée en 2003, il révèle qu’il l’a en réalité égarée dans un déménagement.

Toujours est-il qu’aux Jeux olympiques de 1996 à Atlanta (ceux-là même où il a allumé la flamme lors de la cérémonie d’ouverture), il lui a été offert une nouvelle médaille en remplacement.

7. Son personnage médiatique est inspiré d’un catcheur, Gorgeous George.

Invité à 19 ans à une émission de radio à ses côtés, Mohamed Ali qui débutait tout juste chez les professionnels avait été particulièrement impressionné par ses tirades pleines de bravache, et notamment celle où il promettait de « ramper sur le ring et se couper les cheveux s’il perdait », tout en précisant que cela n’arriverait jamais car il est « le plus grand catcheur du monde ».

En off, Gorgeous George lui avait confié que toute sa stratégie reposait sur le fait que « beaucoup de gens paieraient pour voir quelqu’un se faire clouer le bec ».

Ni une, ni deux, Ali s’est alors mis à transformer les campagnes de promotion de ses combats en spectacles de joutes oratoires.

8. Bon nombre de ses répliques étaient préparées à l’avance.

Sa plus célèbre, « Vole comme le papillon, pique comme l’abeille », lui a d’ailleurs été écrite par Bundini Brown, son conseiller et assistant (interprété par Jamie Foxx dans le biopic de Michael Mann).

9. En 1963, Ali a sorti un album de spoken word intitulé I Am The Greatest. Accompagné d’un orchestre et face à un public, il y récite ses envolées d’avant-match les plus marquantes.

Il faudra ensuite attendre 1976 pour qu’il enregistre à nouveau avec The Adventures of Ali and His Gang vs. Mr. Tooth Decay… un disque qui fait la promotion de l’hygiène dentaire auprès des enfants.

10. Lors de son combat pour le titre mondial contre Sonny Liston en février 1964, il s’est plaint sur le ring d’être aveuglé par un produit badigeonné sur ses gants.

La théorie le plus communément admise veut qu’il s’agisse d’une pommade appliquée sur le visage de Liston pour lui éviter les coupures. A-t-elle été appliquée à dessein sur ses gants ? Aujourd’hui encore, personne n’en sait rien.

11. Si Mohamed Ali était en réalité plus ou moins proche de la Nation of Islam depuis 1962, il a attendu deux jours après son son combat contre Liston pour rendre public son engagement (« Les bruits sont fondés, je suis membre des Black Muslims et Allah était à mes côtés quand j’ai rencontré Liston. À partir d’aujourd’hui, je m’appelle Cassius X »).

S’il s’est montré discret durant ce laps de temps, c’est parce qu’il estimait qu’en affichant ouvertement ses attaches à ce sulfureux groupuscule, la route pour le titre lui serait barrée.

12. Pour son entraîneur Angelo Dundee, Ali a rejoint la Nation of Islam par esprit de contradiction.

« Cassius faisait son possible pour générer un maximum de controverse. Son objectif premier c’était de vendre des tickets et de devenir célèbre. Une fois devenu Mohamed Ali, il n’avait plus rien à faire. Ce nom et son allégeance pour un groupuscule religieux incompris de la plupart des américains lui valaient, non seulement une réelle hostilité de la part d’une partie du public, mais aussi d’être au centre des débats. »

À sa décharge, loin de l’image d’homme de paix qu’il lui a été accolée une fois sa carrière de boxeur terminée, Ali tenait au sommet de sa gloire des propos particulièrement outranciers, comme lorsqu’il clamait « n’avoir aucun ami blancs, ce sont des associés » ou que « tous les hommes blancs américains sont des diables ».

13. Quand Ali et Liston se sont retrouvés sur le ring le 25 mai 1965, le combat s’est déroulé à Lewiston, un bled paumé du Maine, car aucune grande ville n’a voulu de prendre le risque de les recevoir.

Il faut dire que l’affiche qui opposait un ancien taulard de mèche avec la mafia à un militant nationaliste noir dont le mentor Malcolm X venait tout juste d’être assassiné ne rassurait en effet guère les compagnies d’assurance.

14. Cassius Clay était à la base le nom d’un militant blanc abolitionniste.

Quand Mohammed Ali a changé de nom, c’était au motif que le nom qui lui avait été donné était un « nom d’esclave ».

Homme politique républicain et propriétaire terrien du 19ème siècle, Cassius Marcellus Clay avait pourtant affranchi tous les esclaves de son père et publier de nombreuses tribunes dans les journaux pour dénoncer ce système.

15. Martin Luther King Jr. était au départ farouchement opposé à Mohammed Ali.

En 1964 il a notamment déclaré à son propos « qu’en rejoignant les Black Muslims et en se faisant appeler Cassius X, il est devenu le champion de la ségrégation, ce que nous combattons. Cassius devrait passer plus de temps à boxer qu’à parler ».

Après s’être rencontrés à Louisville, les deux hommes finiront cependant par mettre leurs différends de côté.

Ou pour citer Ali tandis que King se tenait près de lui : « Nos approches sur les problèmes du quotidien diffèrent, mais il n’empêche que nous sommes tous les deux mordus par le même chien. »

16. L’une des erreurs qu’il regrette le plus dans sa vie, « c’est d’avoir rompu avec Malcolm X ».

Exclu de la Nation of Islam le 8 mars 1964 après avoir critiqué son leader Elijah Muhammad pour sa piètre connaissance religieuse et sa vie privée sujette à caution, Malcolm X voit aussitôt Ali s’éloigner de lui.

Sur le coup, ce dernier s’était alors fendu de la déclaration suivante : « Malcolm X ou qui que ce soit qui attaque ou critique d’Elijah Muhammad est un homme mort. Malcolm X n’est plus rien pour moi. Il n’est rien d’autre qu’un ancien junkie, un ancien taulard qui ne savait ni lire ni écrire et que l’honorable Elijah Muhammad a pris sous son aile et a éduqué. »

Ali est ensuite revenu sur ses propos. Après avoir plusieurs fois exprimé son estime pour son ancien ami abattu le 21 février 1965 par trois membres de la Nation of Islam, en 2004 il a écrit de lui « qu’il ne serait jamais devenu musulman sans lui » et que « si c’était à refaire, il ne lui aurait jamais tourné le dos ».

17. Mohammed Ali était doté d’un QI en dessous de la moyenne.

Testé par l’armée américaine en 1964, il a obtenu un score de 76, la moyenne étant comprise entre 90 et 109.

Ce résultat est toutefois à relativiser, Ali souffrant de dyslexie à l’écrit – ou comme il l’a dit « J’ai toujours dit que j’étais le plus grand, pas le plus intelligent ».

Dans un premier d’être réformé à cause de ce score, deux ans plus tard les critères de l’armée ont été rabaissés, ce qui l’a rendu éligible à l’incorporation.

18. Personne n’a jamais vu Mohamed Ali boxer à son meilleur niveau.

Quand le 28 avril 1967, l’année de ses 25 ans, il a refusé d’être incorporé dans les rangs de l’armée américaine, les tribunaux l’ont condamné dans la foulée à 10 000 dollars d’amende et 5 ans de prison ferme.

S’il a réussi à éviter la détention grâce à sa célébrité et aux paiements de différentes cautions, il n’en a pas moins été absent des rings pendant trois longues années et demie (de mars 1967 à octobre 1970), celles où physiquement un sportif est au top.

19. Quand en juin 1971, la Cour suprême a annulé sa condamnation, elle ne l’a pas fait pour des questions de fonds (Ali justifiait sa décision au nom de ses convictions religieuses et de son opposition à la guerre du Vietnam), mais pour des questions de forme.

20. Bien avant le film Rocky Balboa qui imaginait mettre aux prises l’Étalon Italien et le champion du monde en titre, en 1969 un ordinateur a imaginé ce que donnerait un combat entre Ali et le légendaire Rocky Marciano.

Après que les deux champions aient été filmé 75 fois une minute en train de s’affronter, une simulation a été montée en prenant compte différentes données enregistrées au cours de leurs carrières couplées aux avis de 250 experts de la boxe.

Verdict ? Le programme informatique a conclu soit à une victoire par KO au treizième rond de Marciano, soit à une victoire d’Ali par arrêt de l’arbitre après avoir fait saigner son adversaire au visage.

21. Cette même année, Ali a tenté sa chance au théâtre.

Dans la pièce Big Time Buck White il a ainsi joué un militant pro black en charge de prononcer un discours lors d’un meeting. L’expérience n’a duré que cinq petites représentations.

22. En 1971, Mohammed Ali a failli affronter sur un ring le basketteur Wilt Chamberlain.

Du haut de ses 2m16 et de ses 40 kilos en plus, l’homme qui a un jour planté 100 points dans un match s’était mis en tête de défier le champion du monde. Un accord avait même été trouvé.

Lors d’une conférence de presse précédent la rencontre, Ali a cependant tellement vexé Chamberlain en hurlant « Timberrrrrrrrr !!! » (le cri des bûcherons canadiens avertissant de la chute d’un arbre) à chaque fois qu’il tentait de prendre la parole que ce dernier a quitté les lieux.

Quelques minutes plus tard, l’un de ses avocats annonçait son retrait pur et simple.

23. Bien qu’Ali se soit fait casser la mâchoire par Ken Norton en 1973, il a tout de même terminé le combat debout.

Défait aux points, il a remporté la revanche un an et demi plus tard, puis la belle en septembre 1976.

Vainqueur par décision à chaque fois, il est largement admis qu’il a bénéficié d’une grande mansuétude de la part des juges.

24. En 1974 lors du Rumble in the Jungle, son combat contre George Foreman à Kinshasa, les cordes du ring avaient préalablement été légèrement détendues par son entraîneur Angelo Dundee afin de lui permettre de mieux rebondir et esquiver les coups de son terrible adversaire.

Inédite pour l’époque, cette technique est depuis surnommée le « rope-a-dope » (« l’enroule-gogo »).

25. Si Ali et Foreman se sont affronté à quatre heures du matin, c’est pour permettre au public américain de regarder le combat en prime time.

Le Rumble in the Jungle a néanmoins déchaîné les passions tout autour du globe : fort d’un milliard de téléspectateurs, il est devenu l’évènement sportif le plus regardé de l’histoire de la télévision.

26. Lors de conférences de presse qui ont préparé le Thrilla in Manilla, sa belle contre Joe Frazier, il comparaît sans cesse son rival à un gorille, poussant l’affront jusqu’à agiter un singe en plastique devant les journalistes.

27. Ali a participé au premier combat de MMA à grande échelle.

Le 26 juin 1976, il a affronté sur un ring le lutteur japonais Antonio Inoki en échange de six millions de dollars.

Pensant au départ qu’il s’agissait d’une exhibition, lorsque l’entourage du boxeur a découvert qu’Inoki avait bien l’intention d’en découdre, les règles ont été modifiées pour n’autoriser que certains low kicks.

Dénué du moindre intérêt, le combat s’est terminé sur un nul peu glorieux et les huées du public.

Frappé en continu à la jambe, Ali a toutefois manqué de se faire amputer suite à la formation de deux caillots sanguins. Après cela son jeu de jambes n’a plus jamais été le même.

28. Mohamed Ali est le dernier champion du monde des poids-lourds à avoir défendu son titre deux fois en moins d’un mois.

En 1976, il a disposé le 30 avril de Jimmy Young en 15 rounds avant de mettre KO Richard Dunn le 24 mai au 5ème round.

Oui c’était encore l’époque où le sportif primait sur les transactions de couloirs…

29. Son règne en tant que champion du monde des poids lourds de 1974 à 1978 est le troisième plus long de l’histoire de la catégorie après celui de Joe Louis (1937-1949) et Rocky Marciano (1952-1956).

30. Mohamed Ali peut se vanter d’avoir battu Superman en duel singulier.

En 1978, DC Comics a publié Superman vs. Muhammad Ali, un numéro dans lequel des extraterrestres proposaient aux humains un combat entre leur meilleur combattant et le leur.

Superman s’est alors porté volontaire pour représenter la Terre contre l’avis des extraterrestres qui lui ont rétorqués qu’il était originaire d’ailleurs. Un compromis a été trouvé quand Ali s’est proposé d’en découdre avec Superman afin d’affronter le champion extraterrestre.

Spoiler : le Greatest leur a collé une rouste à tous deux.

31. Super héros dans la vraie vie, Mohamed Ali a un jour sauvé un homme du suicide.

En 1981 à Los Angeles, un homme de 21 ans menace de se jeter du neuvième étage. Policiers et psychologues tentent en vain de l’en empêcher. Témoin de la scène, le photographe et ami d’Ali, Howard Bingham, appelle l’ancien champion du monde à la rescousse.

Une fois arrivé sur les lieux, il monte à la fenêtre la plus proche et crie au jeune homme : « Je suis ton frère, je veux t’aider ». Après une vingtaine de minutes à parler avec lui, ce dernier accepte de renoncer à son geste.

32. Après sa très sévère défaite contre Larry Holmes en 1980, Ali a poursuivi Don King en justice à hauteur de 1,1 million de dollars.

Pas à une magouille près, le promoteur a alors soudoyé l’un de ses amis, Jeremiah Shabazz, pour qu’il se rende à l’hôpital où Ali était soigné afin de le convaincre d’accepter 50 000 dollars en cash plutôt que de rentrer dans une bataille juridique sans fin.

Endetté jusqu’au coup et souffrant de ses blessures, Ali a accepté l’offre par dépit.

33. Ce revers contre son ancien sparring partner lui a valu de recevoir un coup de téléphone de la part du jeune Mike Tyson.

Du haut de ses 14 ans, le futur « homme le plus mauvais de la planète » lui a juré en pleurs qu’il le vengerait.

Et quand en 1988 Holmes et Tyson se sont retrouvés face-à-face sur un ring, Ali qui présentait le combat est venu lui rappeler à l’oreille sa promesse (« Souviens-toi de ce que tu m’as dit, bats le pour moi »).

Quatre rounds plus tard, l’affaire était pliée.

34. Bien qu’il ait toujours prétendu que sa maladie de Parkinson n’ait rien à voir avec son activité de boxeur, Mohamed Ali montrait des signes de ralentissement de l’activité cérébrale dès le milieu des années 70.

Ferdie Pachecho, son soignant sur le ring, affirme l’avoir « prévenu à de nombreuses reprises ».

« Ses réflexes étaient moins vifs de 25 à 30%. Lui ne s’en apercevait pas, il pensait que son cerveau était vierge de la moindre lésion alors qu’il commençait à bégayer, à se montrer hésitant… »

D’autres médecins ont eux démontré plus tard que sa capacité d’élocution en avait également pris un coup : quand en 1968 il s’exprimait au rythme de 4,1 syllabes par seconde, en 1971 il était tombé à 3,8, là où aucune baisse n’est habituellement observée chez un homme de son âge.

35. En 1990, il a négocié la libération de 15 otages auprès de Saddam Hussein.

En pleine guerre du Golfe, Ali s’est rendu en Irak pour rencontrer le dictateur irakien qui détenait alors 2 000 otages étrangers.

En échange d’un « témoignage honnête sur l’Irak » à son retour aux États-Unis, Saddam Hussein lui a accordé de rentrer avec 15 américains.

36. Figure de proue de la boxe féminine, sa fille Laila a combattu à 24 reprises pour autant de victoires et a remporté les ceintures WBC, WIBA, IWBF et IBA.

Paradoxalement, son paternel n’a jamais été grand fan d’ouvrir le noble art au beau sexe, lui qui en 1978 déclarait que « les femmes ne sont pas faites pour se faire frapper au visage et à la poitrine ».

Très fier de sa fille, Mohamed Ali a plus tard accepté que son image soit utilisée pour tourner une pub Adidas avec elle.

37. Sans Mohamed Ali la saga Rocky n’aurait pas été la même.

Non seulement le palmarès et la personnalité d’Apollo Creed sont largement modelés d’après ses exploits, mais le combat du tout premier film s’inspire directement de son combat contre Chuck Wepner. Boxeur de seconde zone, en 1975 il avait à la stupeur générale réussi à tenir 15 rounds contre lui avant de s’incliner dans les dernières secondes.

38. Éligible en 2002 pour obtenir son étoile sur le fameux Hollywood Boulevard, le fameux Walk of Fame, Mohamed Ali a demandé à ce que la sienne soit incrustée dans le mur du Kodak Theater, le bâtiment dans lequel se déroule la cérémonie des Oscars.

La raison ? Il ne souhaitait pas que son nom soit piétiné.

39. En 2005, il a été décoré de la médaille présidentielle de la Liberté, la plus haute distinction civile américaine, pour « son engagement en faveur du mouvement américain contre la ségrégation et pour l’émancipation culturelle des Noirs ».

40. À la question de savoir comment il aimerait que l’on se souvienne de lui, Mohamed Ali a un jour répondu « comme un homme qui a remporté à trois reprises le titre de champion du monde, comme un homme qui avait de l’humour et comme un homme qui traitait chacun du mieux qu’il le pouvait ».

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