Les jeunes de ce que le Pentagone nomme la « génération Nintendo », ou « génération Z » seraient plus susceptibles de se blesser lors d’un entrainement militaire que leurs ancêtres en raison d’un squelette « fragile ».
À cause du nouveau mode de vie ?
Un communiqué du Service de distribution d’informations visuelles de La Défense (DVIDS), publié le 8 février par le Pentagone indique que la nouvelle génération est affaiblie. Ces jeunes gens perçus comme « étant nés avec un smartphone » en main sont ciblés dans ce rapport à cause de leur mode de vie sédentaire qui les rendraient plus fragiles. Interrogé sur ce rapport, le major Jon-Marc Thibodeau (coordinateur clinique chargé de la préparation médicale) explique : « Leur squelette n’est pas renforcé par de l’activité physique avant leur arrivée, donc certains d’entre eux se cassent plus facilement. »
Selon Ulyces, une autre médecin de l’armée américain nommée Ludia Blondin explique voir fréquemment des « blessures allant des fractures aiguës aux déchirures du ligament croisé antérieur, en passant par les claquages musculaires et les fractures de stress. » Toujours selon cette médecin, « la grande majorité des blessures sont liées à une sur-utilisation » ce qui indique que les candidats n’étaient pas suffisamment actifs dans leur vie civile.
