Le rappeur signe le troisième clip de son album « ASTROWORLD »…
Travis Scott est sur tous les fronts : après avoir connu un grand succès lors de la première édition de l’Astroworld Festival, il a été invité pour les clips de deux titres de qualité : d’abord, Neighbor en featuring avec l’immense Juicy J ; ensuite, sur Zeze accompagné de Kodak Black et de la mitraillette humaine, Offset. Aujourd’hui, il signe le troisième clip de son album ASTROWORLD, YOSEMITE.
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Un visuel métaphorique
La sortie de ce clip était obligatoire, tant le morceau a été plébiscité par le public à la sortie de l’album, d’autant plus que STOP TRYING TO BE GOD et SICKO MODE, deux autres titres d’ASTROWORLD salués par la critique, avaient déjà eu droit à une mise en images. Produit par June James, l’instrumentale est d’une volupté sans pareil : les douces mélodies de guitare et de flûte traversières s’entremêlent en un phrasé musical hypnotique et apaisant jusqu’à l’ataraxie. Gunna signe un refrain céleste sur lequel Travis Scott et Nav n’ont qu’à se calquer tant le protégé de Young Thug a été efficace. Le clip, lui, met en scène un enfant perdu dans une jungle luxuriante, tel Indiana Jones, à la recherche d’Astroworld, le parc d’attractions favori de Travis Scott aujourd’hui fermé depuis bien longtemps. Pendant ce temps, dans son jet privé personnalisé, le Texan et Gunna surplombent l’épopée du garçonnet qui, heureusement pour lui, se terminera bien après un long périple.
Travis Scott, la nouvelle superstar du rap américain
Il ne fait aucun doute quant au statut de superstar du rap qu’a acquis Travis Scott après la sortie de son troisième album blockbuster ASTROWORLD. En effet, il a été couronné d’un double disque de platine il y a quelques jours aux Etats-Unis (2 millions de ventes), seuil que seuls Drake avec le double album Scorpion et Post Malone avec beerbongs & bentleys ont atteint cette année dans la catégorie rap. Sa popularité est à son climax et la tournée américaine actuelle dans laquelle il s’est embarqué devrait l’accroître plus encore.
