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Soprano:  »Aujourd’hui, le rap se limite à des punchlines… » [VIDEO]

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Le rappeur marseillais est monté dans la capitale et y rencontré l’équipe de Booska-P…

Le compte à rebours est sur le point de s’achever. A quelques jours de la sortie de Cosmopolitanie (le 13 octobre), Soprano nous a accordé un entretien devant nos caméras afin de présenter son quatrième album solo. Ayant eu l’opportunité de découvrir l’album avant sa sortie, nous avons axé l’interview autour des thématiques de chacun des titres qui compose le projet. Dans cette première partie, ce sont les titres Préface, Cosmo et Ils nous connaissent pas, tous déjà dévoilés, qui animent les discussions.

Le public de mes débuts est nostalgique à vie

Introduction de l’album, le titre Préface a retenu l’attention de par son côté particulièrement « rap », une volonté de l’artiste qui nous explique que ce type de morceau manquait dans sa discographie récente mais ne relevait pas d’un défi particulier : « Ce type de morceau, j’en fais depuis longtemps et ça me donne l’impression de ne pas avancer…C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas…Seulement une partie de mon public m’attend sur ce terrain là…Le public de mes début est nostalgique à vie. » explique-t-il.

Je ne changerais pas pour une street credibility

Eponyme de l’album, le titre Cosmo est un morceau particulièrement club mais qui conserve un caractère contestataire souligné par l’artiste : « Je pense que c’est le morceau le plus engagé qui est sorti depuis longtemps…Je dénonce là les amalgames politiques et j’encourage à être ensemble. Ce titre explique ma philosophie…Je ne changerais pas pour une street credibility » annonce-t-il.

Si la jeunesse par en c*******, c’est normal

Premier extrait de l’album, le morceau Ils nous connaissent pas met en lumière l’incompréhension entre la jeunesse et la classe politique de notre pays…Un fossé qui s’est agrandit avec le temps alors que les nouvelles générations sont de plus en plus précoces : » Si la jeunesse par en c*****, c’est normal. Ceux qui ont la responsabilité du pays se concentrent sur des choses moins importantes à mes yeux » dénonce-t-il.

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