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Seth Gueko : les chiffres de vente de son album « Destroy »

Seth Gueko : les chiffres de vente de son album « Destroy »

Le détail des ventes du dernier opus du Barlou…

Seth Gueko a laissé les bacs orphelins de son nom pendant deux ans et demi. En effet, depuis son projet Barlou, le rappeur s’est fait quelque peu absent, pris par d’autres projets d’ordre cinématographique notamment. Pour les beaux yeux de tous ses fans de France et de Navarre, il a enfilé de nouveau le bleu de chauffe durant l’année 2018 pour amorcer un retour très attendu.

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Seth Gueko, l’éternel

Ce retour très attendu sur long format, il l’a signé le 25 janvier dernier lors d’un jour classé noir au niveau des sorties. Toutefois, Seth Gueko est un ancien dans ce rap game : après près d’une vingtaine d’années de carrière, le rappeur originaire du 95 en a vu beaucoup d’autres. Pour son propre plaisir et celui de ses fans invétérés, il a publié un nouvel album studio nommé Destroy. Dans cet opus, il est s’est entouré de nombreux rappeurs issus de toutes les générations et de tous les horizons. Ainsi, il a réussi le tour de force de faire cohabiter Kikesa, 13 Block, Akhenaton ou encore Alkpote sur une seule et même galette. En tout, pas moins de dix-neuf rappeurs confrontent leur plume à celle du Barlou pour un disque rafraîchissant. Les chiffres de ventes enregistrés en première semaine témoignent de l’engouement toujours d’actualité autour de Seth Gueko.

Destroy : 4 300 exemplaires vendus en première semaine

Physique : 2 240 / Téléchargement : 640 / Streaming : 1 420

Les confessions du Barlou

Dans le cadre de la promotion de son nouvel album, Seth Gueko a fait un détour dans les locaux de la rédaction de Booska-P pour s’asseoir avec notre journaliste Thomas Guisgand. Ensemble, ils ont longuement discuté de nombreuses thématiques comme le cinéma dans lequel il a fait ses premiers pas, la Thaïlande, son pays d’adoption, ou encore la nouvelle génération. Il parlait de cette dernière en ces quelques mots : « Je suis arrivé dans le rap en connaissant mes classiques. Tu ne peux pas faire du foot sans connaître Zidane, Maradona, Abedi Pelé ou Basile Boli. (…) La mélodie, ça pallie la médiocrité de l’écriture, c’est une manière de faire la faire oublier. Après, il y a des trucs que j’aime bien, faut faire avec son temps. »

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