Des images de qualité !
En avril dernier, Scylla gratifiait ses auditeurs d’un tout nouveau clip made in Brazil. Pour rendre hommage au joueur de football Ronaldo, l’artiste s’était rendu dans les ruelles de Rio pour livrer un visuel dépaysant. Manifestement piqué par la fièvre voyageuse, nous le retrouvons cette fois-ci à l’extrême Est du globe, dans le pays du soleil levant qui n’est autre que le Japon. Entre les temples et les cerisiers en fleurs, Scylla signe le titre Hollywood.
À LIRE AUSSI
Scylla et Isha fument une « Clope sur la lune » [VIDEOCLIP]
Scylla se métamorphose sur « Hollywood »
Pour son nouveau morceau, Scylla se montre particulièrement mélancolique. Il aborde ici le thème d’un amour à sens unique où l’une des parties serait prête à se transformer pour incarner l’être que l’autre aurait voulu aimer. Sur une instru lente et mélodieuse, le Belge déverse un flow remarquablement bien conçu et profond. Il s’illustre seul, le regard fermé et une arme à la main, pour aborder ce sujet douloureux.
Être juste moi ne semble pas te faire rêver. Aucun problème, je suis capable d’imiter qui tu veux. Décris-moi seulement qui tu rêves d’aimer, je me déguiserai en lui et toi tu n’y verras que du feu
Le Japon mis à l’honneur
Pour ce nouveau clip, Scylla a choisi de planter sa tente dans le décor ancestral de Kyoto. Il nous livre ainsi un panorama de la ville traditionnelle japonaise aux paysages aussi cultes qu’authentiques. Nous apercevons notamment de nombreux temples peints en rouge et noir au toit gondolant. Le pavillon doré de Kyoto apparaît également au détour du visuel. Tourné durant la saison printanière, le clip nous donne à voir des cerisiers en fleurs, symbole de la nature florissante japonaise. Outre les ruelles basses de la capitale culturelle du Japon, nous découvrons enfin le sanctuaire de Fusimi Inari-taisha au mille et un portiques rouges.
