Le délibéré a eu lieu aujourd’hui.
Le mercredi 14 avril avait lieu le procès d’Ademo, lui qui était poursuivis par la justice pour usage de stupéfiant, outrage et rébellion. Aujourd’hui, le délibéré a eu lieu et met hors de cause la moitié de PNL. Retour sur les faits de l’affaire.
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Le rappeur relaxé
En septembre dernier, Ademo était interpellé après s’être roulé un joint en plein Paris. Une arrestation musclée, car l’artiste a dû faire face à une demi-douzaine de policiers pas franchement tendres. Ademo d’un côté et les forces de l’ordre de l’autre, deux parties qui se renvoyaient la balle en évoquant des invectives et des insultes.
Renvoyé devant la justice pour outrage et rébellion, le frère de N.O.S risquait aujourd’hui deux mois de prison ferme (peine aménageable grâce au port d’un bracelet électronique), lui qui dans un premier temps avait vu le parquet requérir 5 mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende.
Mais comme le note Camélia Kheiredine, journaliste chez France TV Slash présente au procès, Ademo a finalement été relaxé de tous les faits qui lui ont été reprochés. L’insistance et la violence des policiers lors de l’interpellation ont sans doute faits pencher la balance du côté du rappeur, lui qui ne voulait dans un premier temps pas que sa femme et sa fille, présente au moment des faits, ne soient filmées par les badauds.
Et dire que certains membres des forces de l’ordre se disaient menacés par un gang nommé QLF…
