Le DJ suédois ne supportait plus la pression des projecteurs
Le 20 avril dernier, celui qui était considéré par beaucoup comme l’un des DJs les plus talentueux au monde s’est éteint à Mascate, capitale su sultanat d’Oman, et l’annonce de sa mort a déclenché un véritable raz de marée d’hommages autour du globe. La famille d’Avicii, jusqu’alors restée discrète, révèle dans un communiqué de presse que ce décès était imputable à un acte de suicide…
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Avicii, le décès d'une étoile
Un décès dû au stress de la vie d’artiste
Selon la famille du défunt, il « était une âme artistique fragile qui cherchait des réponses à des questions existentielles. Un perfectionniste qui a voyagé et travaillé dur, à un tel point qu’il a souffert d’un stress extrême ». Ce décès est celui d’un artiste génial, consumé par le rythme effréné de sa propre carrière et usé jusqu’à la corde par l’industrie de la musique… « Quand il a pris sa retraite, il voulait trouver un équilibre pour être heureux dans sa vie et sa musique. Il a vraiment lutté avec ses pensées sur le sens de la vie, du bonheur. Il ne pouvait pas continuer ainsi. Tim n’était pas fait pour le business dans lequel il est tombé, il était sensible et fuyait les projecteurs ».
Une étoile partie trop tôt
Au-delà de l’artiste, Tim Bergling de son vrai nom est dépeint par ses proches comme une personne sensible et très pudique, avec une conception très personnelle de son oeuvre. Avicii avait dû mal à concilier sa vie personnelle avec la pression des projecteurs et sa célébrité internationale. Il avait tenté de retrouver la paix en faisant une pause en 2016, mais usé par son rythme de vie, il a fini par mettre fin à ses jours au cours d’une virée entre amis sur la péninsule arabique. Ce décès met en lumière les aspects peu reluisants de la vie d’artiste…