Le jeune est chaud !
Denzo, le tout jeune rappeur originaire de Grigny, est loin d’être un rookie dans le rap game. En effet, depuis déjà plusieurs années, il abreuve la rue de nombreux inédits : avec son groupe 3GC, il a déjà accumulé les millions de vues. Cette fois, il se retrouve en solo et compte bien montrer à tous qu’il n’a rien à envier à qui que ce soit.
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Si jeune et si sombre…
Depuis déjà quelque temps, Denzo fait de plus en plus de bruit au sein du rap français. Après s’être forgé une fan base grâce à sa série de freestyles Trop Atroce, il s’est adonné à la publication de clips qui ont tous trouvé leur public : Fermeture du four, Y’a les porcs ou encore Freestyle Grigny Wood lui ont permis d’affirmer son style trap très sombre et ses lignes imagées.
Après avoir balancé des inédits tout l’été, il a choisi de ponctuer son travail de sape avec un énième single, Atrocité, sorti ce vendredi 30 août. Les fans auront reconnu le clin d’oeil évident à sa série de freestyles… Pour le reste, Denzo fait ce qu’il sait faire de mieux : rapper au kilomètre entre deux refrains autotunés. Un titre explosif à retrouver sur son tout premier projet du même nom désormais disponible sur les plateformes de streaming.
Quand Denzo se confie à Booska-p
Pour la promotion de la sortie de son premier projet solo, Denzo est allé à la rencontre des journalistes de Booska-p afin de se confier sur lui et sur son processus créatif. Il a notamment détaillé sa manière de travailler ses punchlines. « Même si les sonorités sont différentes, il faut que je garde une écriture un peu profonde, sérieuse. Par exemple, même sur un morceau estival, je veux que l’auditeur soit marqué par les punchlines, qu’il se dise « comment il a trouvé cette phase ? » Quand je bosse, je marche avec la prod’. En plus, je peux être très difficile sur le choix des instrus. On m’en envoie plein, mais il faut que je sente le truc tout de suite. J’aime bien quand ça glisse tout de suite dès la première écoute, sinon, quand je me force à poser sur une prod’ qui ne me convient pas, ça s’entend. »
