Tentative d’extorsion ou véritable agression ?
Dababy, bien que tête d’affiche établie du Rap US, fait régulièrement la une pour des faits de violence, avérés ou présumés. Cette fois, selon le média américain TMZ, le rappeur aurait, en novembre 2019, frappé et menacé de mort un conducteur de van à Las Vegas, avec son équipe.
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Un chauffeur de van agressé pour un joint
L’artiste de 28 ans originaire de Charlotte serait à nouveau impliqué dans une affaire d’agression physique et verbale. Les faits remontent au mois de novembre 2019, à Las Vegas. Selon un article écrit par TMZ, toujours à la pointe dans ce genre d’affaires, Dababy et son équipe auraient fait appel à un service de location de van pour se déplacer jusqu’à leur hôtel. A l’intérieur, le rappeur aurait allumé un joint et ainsi déclenché le mécontentement du conducteur, qui lui aurait alors demandé de bien vouloir l’éteindre. D’après le rapport de TMZ, s’en est suivie une dispute entre ce dernier et le crew de Dababy. Des menaces fusent, l’artiste aurait précisé au conducteur combien il était chanceux de ne pas se trouver dans leur ville (Charlotte ndlr.), où il aurait pu se faire tuer.
Arrivés au Hard Rock Hotel, le conducteur a réclamé sa paye après les avoir trimballés dans le van de sa société, ce à quoi Dababy aurait répondu par un coup porté à l’arrière de la tête de ce dernier, déclarant au passage ‘Tu n’es pas le Boss‘. Le crew du rappeur a récupéré ses bagages et aurait conclu l’affaire en lui disant qu’il pouvait se considérer heureux qu’ils ne l’aient pas laissé pour mort sur le trottoir.
Une histoire montée de toute pièce ?
Mais ces accusations, Dababy les dément formellement. Sur Instagram, il a partagé une story précisant que cette histoire était ‘à 100% fausse‘, et en a profité pour se victimiser un tantinet en écrivant que le diable s’en mêle toujours lorsque tu essaies de bien faire les choses. Il faudra évidemment bien plus que ces quelques mots pour prouver que cette histoire n’a pas eu lieu, mais son avocat est déjà sur le coup. Drew Findlay a appuyé la déclaration de son client, évoquant à son tour une affaire totalement fausse, qui ne serait qu’une tentative de plus d’extorquer de l’argent au nouveau prince du rap, qui sortait son nouvel album Blame it on Baby le 17 avril dernier.
