Ce n’est pas un secret : les rappeurs ont souvent puisé leur inspiration du côté de la saga Dragon Ball Z. Et plus encore outre-Atlantique.
Publiée sur le site Genius, cette infographie se charge ainsi de citer les artistes américains ayant largement inclus Dragon Ball Z dans leurs lyrics.
Dragon Ball, une influence majeure dans le rap
Créée en 1986 par Akira Toriyama, la licence Dragon Ball aura souvent influencé la culture hip-hop, que ce soit au travers de DB et DBZ. Par exemple, RZA du Wu-Tang Clan avait un jour comparé l’histoire de DBZ à celle d’un « homme noir en Amérique ». Mais ce n’est pas parce que l’animé Dragon Ball Z a baissé le rideau à la fin des années 90 que Goku n’a plus la cote dans le rap game. Ces dernières années, les allusions plus ou moins directes à l’univers de la série se sont multipliées. Par exemple, en 2011, Waka Flocka avait été particulièrement inspiré dans le titre Wild Boy, où il avait lâché la punchline « Suck my Dragon Balls bitch, call me Goku » (soit, « Suce mes Dragon Ball p***, appelle-moi Goku »). En 2012, Robb Bank$ signait dans son titre Fine$t (June) cette sortie : « Sa culotte est déchirée comme les sapes de Goku après Freezer ». En 2014, Bryson Tiller taillait Krilin dans son titre Break Bread : « Vert comme Piccolo, et je ne parle pas d’argent/La conversation tourne court comme la résistance de Krilin ». La liste continue encore, et The Weeknd, de même que Chief Keef, Lil Uzi Vert, Chance the Rapper, Ab-Soul ou encore J. Cole ont tous un jour rappé sur DBZ.
Et en France ?
En France, le constat est à peu de choses près le même, et nombreux sont les MC’s à avoir un jour cité Goku et sa clique dans leurs titres. Nous avions d’ailleurs largement évoqué le sujet au travers d’un dossier : Le rap français, c’est Dragon Ball Z, à (re)découvrir évidemment !
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