Booska-P a été invité à suivre Soprano à l’occasion d’un concert évènement à Brazzaville (RDC)…
La musique passe les frontières sans visa, et celle de Soprano dépasse largement le cadre de l’hexagone. Si le marseillais d’origine comorienne est une star en France, il l’est tout autant voir encore plus sur le continent africain. Déjà auteur de plusieurs tournées en Afrique, le membre des Psy 4 de la Rime se rendait cette fois en République du Congo afin de participer à un concert évènement dans le cadre d’un festival à Brazzaville. L’occasion pour les caméras de Booska-P de suivre l’artiste dans cette aventure et d’évoquer avec lui ce qui fait son actualité depuis la sortie de Cosmopolitanie, son dernier album solo.
A chaque fois que je viens en Afrique, il se passe quelque-chose
Après 3 jours passés sur place, l’artiste revient sur l’accueil chaleureux dont il a bénéficié : « Ca s’est super bien passé, il nous ont accueilli magnifiquement bien, on est arrivé avec plusieurs artistes comme La Fouine, Magic System ou des artistes locaux. Je ne sais pas pourquoi je suis aussi populaire en Afrique même si je sais que mes titres y tournent beaucoup. Certains m’aiment pour mon message pour par rapport à ce que je véhicule. A chaque fois que je viens en Afrique, il se passe un truc. Tous les morceaux où on danse et où il y a de l’espoir, ça marche en Afrique. La première fois que j’ai voyagé en Afrique Noire ou au Maghreb, j’ai pris une claque » explique-t-il.
Mes frères aiment bien foutre la merde !
Toujours accompagné de ses frères Zach et Diego, l’artiste explique que leur présence est une évidence : » Depuis le début, ils sont toujours avec moi, que ce soit en studio ou dans la vie. En plus de ça ils sont talentueux et je m’entends super bien avec eux. Ils aiment bien foutre la merde » précise-t-il. Alors qu’un projet commun avec La Fouine était dans les tuyaux, les emplois du temps de chacun n’ont pour l’instant pas permis de le réaliser : » On a fait des morceaux, mais on n’a pas poussé plus. Pour tous les deux, c’était pas possible de trouver un bon moment pour pouvoir le faire. » conclut-il.
