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24h avec L’Algerino [VIDEO]

24h avec L’Algerino [VIDEO]

Dans les pas du Marseillais !

Artiste qui a su se réinventer, L’Algérino a cassé les portes du succès en proposant une musique au confluent d’une multitude d’influences. Le 22 juin prochain, il débarquera d’ailleurs avec un nouvel album baptisé International. Un nom qui colle terriblement au style d’un rappeur que les caméras de Booska-P ont suivi du côté des Pays-Bas, où se trouve une bonne partie de son public.

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L’Algérino en guest aux FUNX Awards, à Amsterdam !

FUNX, voilà une radio hollandaise qu’on pourrait comparer à Skyrock ou NRJ dans nos frontières. Chaque année, l’entité organise ses awards et invite même des artistes venus de l’étranger pour faire le show… C’est donc à cette occasion qu’on a suivi L’Algérino, prêt comme jamais à entonner en live son dernier hit, Va Bene. Avant de se produire au coeur d’Amsterdam, le Phocéen a d’ailleurs fait le point, abordant son succès à l’international, sa manière de concevoir la musique, ou encore ses prochains concerts à venir, du côté de L’Olympia le 31 octobre et au Dôme de Marseille le 3 novembre.

Un artiste international

« Il y a toujours une source. A la base, on va dire que c’est la communauté maghrébine qui m’écoute, mais ça se généralise. On fait des concerts en Hollande, en Allemagne, au Danemark, A New-York (…). Quand tu prends l’avion et que tu rencontres d’autres personnes, ta façon de créer évolue. Je me demande par exemple comment un Allemand peut écouter ma musique. Et à chaque fois, je teste mes sons, que ce soit en concert ou dans un taxi ».

Sa première au Dôme de Marseille

« J’ai toujours rêvé de le faire. J’ai vu IAM et NTM là-bas… Je l’ai fait plus jeune, dans des premières parties, mais jamais tout seul. Quand tu annonces que tu vas faire le Dôme de Marseille, t’as des frissons. C’est une fierté pour moi de faire cette salle, j’ai hâte de faire ce concert. Pareil pour l’Olympia à Paris, c’est une salle mythique. C’est l’occasion de montrer vraiment ce que je vaux sur scène, car mon rap est né sur scène, je suis de la génération des PSY4 de la Rime. A l’époque, on se formait en live, il fallait soulever un public qui ne te connaissait pas forcément ».

La richesse de la musique

« En France, nos sonorités se mélangent entre l’Afro, la musique orientale, les sons latinos et le rap… Sans oublier les musiques de l’Europe de l’Est. Il ne faut pas être nombriliste et regarder ce qui se passe ailleurs en Europe ».

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