Rap US

La femme de Dr. Dre l’accuse de l’avoir mise K.O.

La femme de Dr. Dre l’accuse de l’avoir mise K.O.

Les choses se corsent.

Le divorce entre Dr. Dre et Nicole Young prend un nouveau tournant. Empilant les accusations à l’encontre du producteur, la futur ex-femme du mogul affirme cette fois qu’il l’aurait mise K.O. un soir où il avait trop bu.

À LIRE AUSSI 
Royce da 5'9 : une anecdote incroyable avec Dr. Dre

Nicole Young hausse le ton

Déjà accusé de violence envers les femmes à plusieurs reprises – dont Dee Barnes au début des années 90 -, Dre doit cette fois composer avec une plainte émanant de la mère de ses enfants. Celle-ci affirme ainsi que le rappeur l’a «mise K.O.» en la frappant au visage lors d’une crise sous fond d’alcool. C’est en tout cas ce que laissent entendre des documents officiels, interceptés par le média The Blast. Cet épisode remonterait à 1999 : «Andre avait eu l’impression que je lui avait manqué de respect lors d’une soirée. Il m’a prise à part et m’a frappé au visage, me mettant K.O. dans la foulée. Je me suis réveillée sur le siège passager de notre voiture, ceinture attachée, avec Andre roulant à plus de 160 km/h. Il était saoul et hors de contrôle. Il jurait, faisait de grands gestes, me criait dessus. J’ai eu peur qu’il termine dans le séparateurs de voies. […] J’ai cru que j’allais mourir dans la voiture cette nuit-là».

Un fait loin d’être isolé ?

La même Nicole Young répétera que des faits similaires se sont aussi produits en 1995 et 2012, soulignant à chaque fois les accès de rage et de colère de Dr. Dre. Le principal intéressé s’est depuis défendu de tels comportements : «Je n’ai jamais frappé, attaqué, harcelé, molesté, agressé, menacé ou abusé de Nicole de quelque manière que ce soit et à quelque moment que ce soit. Je ne l’ai jamais surveillée ou suivie, ni demandé à quelqu’un de le faire. A aucun moment la police n’a été appelée pendant notre mariage. Nicole n’a jamais déposé de plainte pour violence domestique pendant notre mariage, que ce soit de manière formelle ou informelle. Il n’y a aucune preuve documentaire d’un quelconque abus présumé».

Top articles

Dossiers

VOIR TOUT

À lire aussi

VOIR TOUT