Actualités Lifestyle

Sneakers : le « walk out », une arme anti-revendeurs ?

Sneakers : le « walk out », une arme anti-revendeurs ?

Solebox a mis en place une action pour éviter que les Nike Air Max 1 « Parra » ne tombent dans les mauvaises mains.

La revente de sneakers, voilà un business qui a fait ses preuves et qui commence par sérieusement agacer certaines enseignes. C’est le cas de la culte Solebox Berlin qui a décidé de sévir. Lors de la sortie de la très attendue Nike Air Max 1 « Parra », les grands moyens ont été employés avec un « walk out » en bonne et due forme.

À LIRE AUSSI 
Nike célèbre Kylian Mbappé avec un pack 1998-2018 [PHOTOS]

Quand Solebox Berlin prend les choses en main

On connaissant déjà les files d’attente et autres interdictions d’acheter plusieurs produits… Aujourd’hui, place à l’interdiction de sortir d’une boutique avec ses sneakers à la main. La faute aux revendeurs, faussant le jeu en profitant de certaines pièces rares pour se remplir les poches. L’initiative est signée Solebox Berlin, pour un résultat qui ne fût pas si satisfaisant, entre ceux qui ont nettoyé leurs paires quelques mètres plus loin et d’autres qui ont réussi à se faire la malle, Nike Air Max 1 « Parra » entre les bras.

Comme le rapporte Hypebeast, le propriétaire de la boutique a déclaré qu’il était malgré tout impossible d’empêcher les reventes : « Pour ce lancement, nous avons fait un « walk out », ce qui signifie qu’ils devaient porter les chaussures avant de quitter le magasin. Mais vous ne pouvez pas les empêcher de les revendre, ils ont immédiatement commencé à nettoyer les chaussures. »

Sur Instagram certains se sont même amusés de la situation, caricaturant les receleurs avec la manière. Le dessin d’un certain Laro Vilas Boas est même devenu viral.

Le streetwear victime de son succès

Devenu une nouvelle norme de la hype, le streetwear est désormais victime de son succès. Il y a quasiment un an, Supreme avait d’ailleurs tenté de réagir contre les entreprises qui utilisaient son nom et son logo. Des éléments non déposés par leur créateur New-Yorkais James Jebbia, ce qui a permis la création de nombreuses entités fake à souhait, comme par exemple Supreme Barletta distribuée en Italie et en Espagne.

Top articles

Dossiers

VOIR TOUT

À lire aussi

VOIR TOUT