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Joey Starr raconte les vies de gangsters méconnus [VIDEO]

Joey Starr raconte les vies de gangsters méconnus [VIDEO]

Dans un podcast pour Deezer, Joey Starr nous plonge dans les arcanes du crime.

Deezer a fait une belle annonce sur ses réseaux sociaux : la plateforme a embauché Joey Starr pour raconter de sombres histoires de gangsters. Un cocktail qui semble valoir le détour !

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Joey Starr, raconte-nous une histoire !

Deezer continue d’investir dans la pérennité de son entreprise. Pour se démarquer de la concurrence, les podcasts sont aujourd’hui les programmes les plus à même de faire la différence. Ainsi, la plateforme de streaming a décidé de produire un contenu qui devrait intéresser les fans de rap, mais aussi ceux des films de Martin Scorsese. En effet, elle a engagé rien de moins que Joey Starr pour une émission dans laquelle il raconte les histoires passionnantes de gangsters méconnus de la culture populaire. Vous l’aurez compris, il ne sera donc pas question de Pablo Escobar, El Chapo ou encore Al Capone mais plutôt d’autres voyous à la liste des méfaits longs comme le bras qui n’ont pas joui de leur notoriété.

Voici comment est décrit le podcast : « Jacques Mesrine, Pablo Escobar, Al Capone. Tout le monde les connait. Mais le monde du crime regorge de figures moins connues, à la réputation tout autant redoutable. Des personnalités souvent issues de la rue, qui ont su en manier les codes et la violence pour se hisser en haut de la pyramide sociale. Ils s’appellent Christopher « Dudus » Coke, Stanley « Tookie » Williams, William Da Silva Lima. Leur « profession » : gangster, voyou, criminel, thug, don, parrain, bad boy.

Les qualificatifs ne manquent pas pour évoquer ces chefs du « milieu », qui ont influencé la musique, la culture, la société, la politique et parfois même l’histoire de leur pays. De Kingston à Los Angeles en passant par Rio, les gangs et leurs boss ont toujours su vivre du business illégal, mais ont également joué les rôles de bienfaiteurs dans les ghettos, territoires laissés pour compte par les pouvoirs publics et les autorités. Et si ces chefs de gangs, considérés par certains comme des Dieux, par d’autres comme des démons, n’étaient en réalité que le fruit des sociétés qui les ont vus naître ? C’est bien connu, toute société a les criminels qu’elle mérite. »

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