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10 jeux DBZ dont vous n’avez jamais entendu parler [DOSSIER]

10 jeux DBZ dont vous n’avez jamais entendu parler [DOSSIER]

La sortie prochaine de Dragon Ball FighterZ sur consoles nous a donné envie de nous plonger dans les archives nébuleuses des jeux vidéo mettant en scène Goku et sa clique…

Difficile de tenir les comptes et de donner avec exactitude le nombre de jeux vidéo basés sur les licences Dragon Ball/Dragon Ball Z sortis à ce jour. Et pour cause : 30 ans séparent les sorties de Dragon Ball : Le Secret du Dragon sur NES et Dragon Ball Z Dokkan Battle sur iPhone. Ceci étant, parmi tous les titres estampillés DBZ, beaucoup n’auront jamais dépassé les frontières nippones. D’autres seront restés dans un certain anonymat. Et ce sont justement ces jeux oubliés que nous avons décidé de mettre en avant dans ce dossier !

Dragon Ball Evolution

Le film Dragon Ball Evolution sorti en 2009 et réalisé par James Wong a eu droit à son jeu vidéo. Le titre en question, sorti sur PSP, a fait le pari de modéliser les acteurs du cette production, pour un rendu proche d’un Tekken (s’il fallait vous donner un point de comparaison). Sauf que c’est mou, c’est plutôt laid, et c’est à peu près aussi intéressant que le long métrage. Un film dans lequel l’acteur qui campait Spike dans Buffy contre les vampires se retrouve à jouer Piccolo, on vous le rappelle.

Dragon Ball Z 2 : Super Battle

L’époque des salles d’arcade semble désormais lointaine et pourtant… Dans les années 90, nombreuses sont les fois où la licence Dragon Ball Z s’est frayée une place sur les bornes d’arcade, entre Street Fighter et King of Fighters. En 1995, Banpresto publie Dragon Ball Z 2: Super Battle, un jeu de combat 2D particulièrement vif, puisqu’il fait le pari des combats rapprochés. Une curiosité qui aurait justement plus en rapport avec Street Fighter II qu’avec n’importe quel autre titre DBZ.

Dragon Ball Z Gaiden : Saiyajin Zetsumetsu Keikaku

Au début des années 90, Bandai supportait la production d’un téléfilm DBZ inédit : Dragon Ball Z : Le Plan d’anéantissement des Saïyens, servant à appuyer la sortie du jeu éponyme sur Famicom (la version japonaise de la NES). Dans les grandes lignes, il s’agit d’un RPG plutôt bien fichu pour l’époque, même s’il a désormais mal vieilli. Et dire qu’en France, la seule fois où la licence Dragon Ball trouva son chemin sur NES, ce fut pour nous offrir le piètre Dragon Ball : Le Secret du Dragon

Dragon Ball Z : Idainaru Goku Densetsu

Exclusif à la PC-Engine (une console sortie dans les années 90), Dragon Ball Z Gaiden: Saiyajin Zetsumetsu Keikaku tirait son originalité de son scénario, le joueur vivait les combats les plus marquants de Goku, de son affrontement contre Tao Pai Pai à sa lutte contre Piccolo, Vegeta et même Freezer. Un jeu teinté d’une bonne dose de stratégie qui se différenciait sans mal des jeux de baston surfant sur le succès de DBZ alors. Le fait pour l’époque que la production propose des voix n’était pas non plus forcément très courant, ce qui rajoute un peu plus encore de saveur à l’historique de ce titre.

Dragon Ball Z Super Gokuden : Kakusei Hen

Au milieu des années 90, nombreux sont les jeunes joueurs à avoir bavé devant Dragon Ball Z Super Gokûden. Et comme on les comprend : jamais traduit en français (et encore moins offert au marché Européen), ce jeu de rôle retraçait fidèlement les évènements du manga, à partir du chapitre où Goku rencontre Piccolo, pour se boucler une fois Freezer et son armée défaits. Depuis, une traduction non-officielle a vu le jour, et il est possible d’en profiter en passant par les voies de l’émulation. Si vous avez quelques heures à tuer…

Dragon Ball Z : Shin Butôden

C’est sans doute LE titre que les possesseurs de PlayStation enviaient aux joueurs ayant craqué pour la Saturn, à l’époque de la rivalité Sony/SEGA. Version remaniée du catastrophique Dragon Ball Z Ultimate Battle 22 sorti sur PlayStation, le jeu est à la fois plus beau que sa version d’origine et plus punchy aussi. Pas un hit à proprement parler non plus, mais fut une époque où les Budokai et compagnie n’étaient encore qu’une simple vision lointaine, et où il fallait encore faire des concessions pour espérer s’éclater sur un jeu vidéo mettant en scène Goku et sa clique.

Super Dragon Ball Z

Pas vraiment un jeu obscur que ce Super Dragon Ball Z, mais l’aura de la série Budokai à l’époque n’aura pourtant pas manqué de lui faire de l’ombre. Adaatation d’un jeu d’arcade, le titre est ensuite sorti sur PlayStation 2 en 2006. Optant pour des graphismes fidèles à ceux du manga, il fait partie des rares productions vidéoludiques ayant profité de l’implication directe d’Akira Toriyama. Résultat : Super Dragon Ball Z permet de prendre les commandes d’une version inédite de Freezer, installé dans une espèce de robot géant…

Dragon Ball Z Hyper Dimension

Lancé en 1996 sur Super Nintendo, à une époque où tous les joueurs n’avaient d’yeux que pour les PlayStation, Saturn et Nintendo 64, Dragon Ball Z Hyper Dimension n’en demeure pas moins une pépite. Sombre au possible, s’appuyant sur un gameplay hyper-nerveux et proposant un mode Histoire on ne peut plus complet, ce jeu est marquant à plus d’un titre. Dommage, il n’aura jamais été réédité, et sa cote sur le marché gris demeure relativement élevé, du fait du tirage limité dont il avait fait l’objet au moment de sa sortie.

Dragon Ball Z : Legendary Super Warriors

Couvrant l’intégralité de la saga DBZ, Dragon Ball Z: Legendary Super Warriors est un jeu de cartes développé par le japonais Banpresto. Sorti sur Game Boy Color en 2002, autant dire à une époque où la console n’intéressait plus grand monde, le jeu ne manquait pourtant pas de panache. Et aurait mérité un tout autre éclairage, c’est évident.

Anime Designer : Dragon Ball Z

Attention, OVNI. Inédit à la console Pippin d’Apple (une longue histoire…), ce projet avait plus attrait au logiciel qu’au jeu vidéo. En fait, Anime Designer: Dragon Ball Z servait à créer ses propres histoires, en se servant des animations et effets intégrés d’avance. Evidemment, le titre n’est jamais sorti en France, pas plus que la Pippin qui aura fait un four aussi bien au Japon qu’aux Etats-Unis. Il faut dire que la console accueilli moins de 20 jeux durant sa courte vie sur le marché…

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