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Le PSG de Sarkozy, ça ressemblerait à quoi ? [CHRONIQUE]

Le PSG de Sarkozy, ça ressemblerait à quoi ? [CHRONIQUE]

La rumeur nous a donné des idées…

« De la République française au Paris Saint-Germain », l’histoire serait incroyablement « Gangsta »… Alors que le PSG a traversé la première crise de l’ère qatari, les spéculations vont bon train autour de l’avenir du club et des bouleversements qui sont à attendre. Si des joueurs sont annoncés pour le mercato d’hiver, les jours d’Unaï Emery pourraient quant à eux être comptés. Néanmoins, la rumeur qui a trouvé le plus grand écho est celle d’une éventuelle arrivée de Nicolas Sarkozy en tant que président du club. Proche de l’Emir du Qatar et passionné de football, l’ancien président de la République pourrait donc prendre la place de Nasser Al-Khelaïfi dans un avenir plus ou moins proche selon GQ. Si l’on y croit pas trop de notre côté, ça nous a quand même donné des idées… Découvrez à quoi pourrait ressembler le club de la capitale version Sarko…

Un moyen de redorer son blason

Le PSG et Nicolas Sarkozy ont déjà une chose en commun, celle d’avoir vécu une fin d’année 2016 marquée par la défaite. Revanchard, l’ancien homme d’état débarquerait au PSG dans le but de redorer son blason. Aucun doute possible, une fois en place, ce serait lui le patron. Histoire d’asseoir son autorité, le petit hongrois prendrait d’entrée quelques mesures chocs comme le remplacement du nom du club en UMPSG histoire de renouer avec son glorieux passé personnel. Par la suite, il la jouerait nationaliste en exigeant que le prochain maillot du club soit une marinière tricolore à domicile comme à l’extérieur… Sur ce maillot, exit Fly Emirates, le nouveau sponsor principal serait L’Oreal afin de garder contact avec une vieille connaissance, il paraît que les bons comptes font les bons amis. Enfin, les conférences de presse deviendraient payantes et les journalistes seraient triés sur le volet… Pas question que des gauchistes de chez So Foot partagent la même pièce que lui puisqu’évidemment, il n’y aurait que lui d’autorisé à se présenter devant les médias. A côté, Jean-Michel Aulas passerait pour quelqu’un de discret.

Un effectif passé au Karcher

Concernant le secteur sportif, il y aurait là aussi du changement puisque l’effectif parisien serait immédiatement passé au Karcher… Les Aurier, Ben Arfa, Kurzawa, Kimpembe etc… figurant en tête de liste. Du coup, seul Adrien Rabiot serait épargné, ou peut-être Kevin Trapp à la limite. Il s’agira donc de reconstuire l’effectif à coup de millions et pour cela, Nicolas Sarkozy ferait appel à ses gars sûrs de chez Bygmalion pour obtenir un système de comptabilité comme à l’ancienne. Pour reprendre en main l’équipe, il rappellerait Laurent Blanc, simplement pour son nom de famille, sur les conseils de Manuel Valls. Dans le but de jouer l’ouverture, sa première recrue se nommerait Ulrich Le Pen, bien qu’à la retraite depuis 2010, là encore pour d’évidentes raisons de patronyme. Enfin, il tenterait de relancer Andreï Archavine, simplement parce que Poutine lui a dit de le faire.

Du piston à foison

Evidemment, l’homme placerait ses proches à tous les échelons du club. Ainsi, Doc Gyneco intègrerait le staff technique en tant que coach mental tandis que Capucine Anav prendrait place en tant que préparatrice physique… Exigence du président, c’est lui qui prendrait en charge les dégrassages d’après-match. Tout joueur qui aurait alors l’audace de le dépasser lors du footing serait immédiatement mis à pied. Enfin, Quelqu’un m’a dit de Carla Bruni remplacerait « Who said I would3 de Phil Collins lors de l’entrée des joueurs au Parc des Princes. Une enceinte où les associations de supporters reprendraient partiellement leurs places puisque seul la tribune Boulogne leur serait ouverte, la tribune Auteuil étant de son côté debaptisée Tribune Neuilly pour accueillir les potos VIP du nouveau boss. On imagine déjà, la gronde de certains qui entonneraient en choeur le slogan « Casse toi pauvre con » à l’encontre de celui qui en est pourtant à l’origine… Un comble.

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