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Comment la joaillerie de Kim Kardashian a-t-elle été revendue ?

Comment la joaillerie de Kim Kardashian a-t-elle été revendue ?

L’homme considéré comme l’organisateur du braquage dont a été victime la bimbo a révélé ce qu’il est advenu des millions de dollars de bijoux dérobés…

La nuit du 2 au 3 octobre 2016, deux hommes déguisés en policier faisaient irruption dans la chambre d’hôtel de Kim Kardashian. Après l’avoir ligotée dans la salle de bains, ses agresseurs prenaient la fuite en emportant avec eux plus de 9 millions d’euros de butin, dont sa bague de mariage, un diamant gros de 20 carats estimé à 4 millions.

Début janvier 16 hommes étaient interpellés, dont Aomar Ait Khedache, 60 ans, surnommé le « Vieux ». Présumé cerveau de l’affaire, ses auditions par la Brigade de la répression du banditisme (BRB) ont été rendues publiques par le journal Le Monde. Extraits.

S’il avoue avoir été dépassé par l’ampleur médiatique de l’affaire, il reconnait dans le même temps que le coup en lui-même ne présentait rien d’exceptionnel, d’autant plus que la reine des réseaux sociaux leur a beaucoup facilité la tâche de par son attitude.

« Ce n’était pas un gros vol à main armé. Il suffisait de neutraliser le veilleur de nuit et d’accéder à la chambre (…) J’ai tout de suite été emballé. C’était une affaire très simple. Ça n’était pas un truc violent. C’est pas un braquo quoi. »

Khedache se vantant au passage n’avoir « pas exhibé d’arme devant une femme ».

« L’affaire proprement dite était donnée sur Internet, avec tout. Les bijoux présentés sur Internet, précisant qu’elle ne portait pas de faux bijoux. Qu’il n’y avait pas de faux, les horaires quand elle venait en France (…) il suffisait de regarder sur Internet pour tout savoir, absolument tout. »

L’enquête a également révélé que l’équipe avait déjà planifié une première fois de dévaliser la star. Une tentative annulée car à l’époque « il y avait trop de monde autour d’elle ».

TOUT A ÉTÉ FONDU OU PRESQUE

Pour ce qui est du produit du larcin, l’équipe s’est ensuite rendue quelques jours plus tard en Belgique, à Anvers, une ville reconnue pour être une plaque tournante du commerce diamantaire international.

« Pour que les bijoux ne soient jamais reconnus, on a pris la décision, en commun de les faire fondre. Une des personnes parmi nous s’en est occupée. Il est revenu avec des barres (…) En tout, il devait y avoir huit cent et quelques grammes, ce qui a donné un montant de euh… 25 ou 28 mille, un truc comme ça. »

Reste qu’en théorie Kim K. pourrait un jour récupérer sa bague, cette dernière n’ayant pas été fondue, car la pierre en elle-même est trop « repérable ».

« Tout le monde a eu peur de vendre », Khedache avouant cependant qu’à heure actuelle, « il y a une personne qui l’a ».

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