C’est en substance ce qu’a déclaré le rappeur devant madame la juge…
50 Cent aime à entretenir le doute sur la réalité de son patrimoine. Redevable à hauteur de 30 millions de dollars auprès de ses créanciers, il n’en continue pas moins d’alimenter son compte Instagram en photos où il exhibe des billets verts comme s’il en pleuvait.
Une situation qui a fini par piquer la curiosité de la juge Ann Nevins en charge de son dossier de déclaration en faillite. Cette dernière l’a ainsi convoqué pour en savoir plus.
Sous serment Fiddy a ainsi témoigné hier : « La culture Hip-Hop est largement reconnue pour sa nature compétitive ». Dès lors ce standard pousse selon lui « les artistes et les fans à s’engager dans une course à l’exhibition (argent, bijoux…) ».
« Les produits et les marques sont désormais marquetés sur les réseaux sociaux pour pousser les consommateurs à s’engager. Le fait que je prenne soin de maintenir les besoins de ma marque ne signifie pas pour autant que je cache mes actifs ou que j’ai menti en me déclarant en banqueroute. »
Le rappeur a poursuivi en affirmant que les liasses affichées sur son compte ne sont que de « la ‘prop money’, des accessoires utilisés pour les photos et les clips de G-Unit Records ».
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