Focus sur le lancement de la paire, mais pas seulement…
Il y a une semaine, Nike dévoilait sa nouvelle gamme de Mercurial, son célèbre modèle ultra-léger consacré aux as de pelouses aussi bien qu’aux joueurs de rue. La rue justement, comme les plus grands stades de l’hexagone, la virgule en a fait son terrain de jeu le temps d’un weekend hors du temps à l’occasion de la finale de la coupe du monde féminine.
Entre un lancement de la Mercurial entre les tours de la cité Pablo Picasso de Nanterre (92), une finale opposant deux équipes porteuses de valeurs à Lyon et autres évènements, Nike a su s’affirmer une nouvelle fois comme un partenaire incontournable de tous les footballs.
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Un savoir-faire entre la rue et les sommets
Si pour d’aucun, le football se traduit pas un simple jeu de balle, force est de constater qu’il est bien plus que ça… En particulier aujourd’hui. Participant à l’émancipation des passionnés, le ballon rond a joué un gros rôle en cette année 2019, avec une coupe du monde féminine marquée par le sacre d’une équipe des USA porteuse d’un message clair, le football appartient à toutes et à tous.
Des mots qui collent également à la firme Nike, qui aura sponsorisé l’équipe victorieuse et sa dauphine, les Pays-Bas, sans oublier nos Bleues qui se sont arrêtées en quart de finales… La preuve avec les évènements proposés il y a peu par la marque américaine. Conviant un groupe de plusieurs journalistes internationaux, elle a présenté son savoir-faire à travers un training, la présentation des rapides mercurial, mais aussi (et surtout) un débat réunissant de grandes actrices du football féminin, la présentation du documentaire Spit Fire, Dream Higher, puis enfin, le lancement des mêmes mercurial en banlieue parisienne le temps d’un tournoi au coeur de la street.
Spit Fire, Dream Higher
Un documentaire, oui mais pas n’importe lequel. Ici, il s’agit de suivre le chemin de différentes adolescentes à travers le globe, toutes animées par la passion du football. Qu’on se trouve en France, en Russie ou au Ghana, c’est la prise en main de chacune qui l’emporte. Ecrire son propre chemin, son propre destin, voilà le fil du projet dans lequel on retrouve Adwoa Aboah, mannequin fondatrice de Gurls Talk et l’attaquante du Paris Saint-Germain Nadia Nadim.
La Mercurial a Pablo
Un tournoi au coeur d’une cité, des sourires, des top players et des paires descendues du ciel (via des drones), que demander de plus ? Sur le playground érigé en plein dans le quartier Pablo Picasso à Nanterre, Caroline Hansen (FC Barcelone), Andressa Alves (FC Barcelone), Barbara Bonansea (Juventus), Jadon Sancho (BVB Dortmund) se sont relayés pour offrir des gestes de classe à la foule… De même que plusieurs équipes certifiées par la street, féminines comme masculines, qui ont assuré le show sous les fumis !
Le sacre des USA
Une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne… Et ça, les Etats-Unis en ont fait une spécialité avec désormais 4 étoiles sur leur maillot. Face à de valeureuses Hollandaises, la team USA a fait sa loi pour une victoire 2 buts à zéro au Groupama Stadium de Lyon. Bien plus qu’une nouvelle coupe du monde dans leur armoire, les américaines ont apporté un nouveau souffle au foot féminin. Opposition aux inégalités, personnalités charismatiques, prises de position… L’équipe menée par la meilleure joueuse du mondial français, Morgan Rapinoe, a personnalisé les espoirs d’une génération.
