L’application connait un succès phénoménal à travers la France…
« Dans mon phonetel zéro pucelle, plus de moules que chez Leon de Bruxelles » lâchait Booba pour introduire la compilation Mixtape Evolution réalisée par Cut Killer et DJ Whoo Kid en 2006. Des années plus tard, cette phase aurait parfaitement pu servir de slogan à Tinder pour faire sa promotion auprès de la gente masculine en France. Lancée en septembre 2012 par 4 américains, l’application part du principe que les sites de rencontres reposent sur trop de critères et ne se montrent pas assez divertissants. Résultat, une véritable révolution dans le domaine de la rencontre virtuelle et des millions d’utilisateurs fidélisés en à peine deux ans !
Cybersex
Ici, pas de place pour le blabla, zéro superflu. Une description sommaire et surtout les photos, véritables pierres angulaires du modèle Tinder. Contrairement à nombre de ses concurrents, l’application part du principe que le physique prime avant tout ! Si quelqu’un ne vous attire pas par son apparence, il est peu probable que ce qui se cache derrière inverse la tendance. Le principe est donc de voyager à travers les profils en indiquant simplement si cette personne vous plait ou non… En cas de réciprocité, c’est un match ! Vous pouvez alors interagir et espérer reproduire dans les plus brefs délais la filmographie de Liza Monet.
Tout et tout de suite
L’avantage de Tinder, c’est qu’il n’y a pas d’hyprocrisie : personne ne recherche le grand amour sur cette application, ce que les gens veulent… C’est du cul et même du fast cul sans concession. Les femmes réservées se font aussi rares sur Tinder que des pucelles rue Saint-Denis (#tchittchit). Certains serial fuckers se sont même spécialisés dans la profession et compte des dizaines de conquêtes en seulement quelques mois d’utilisation…Alors bien sûr, il faut parfois savoir se montrer peu regardant… Sur Tinder, vous trouverez autant d’épaves que sur n’importe quel site.
