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Stephane De Groodt :«L’adrénaline est une drogue pour moi !» [VIDEO]

Stephane De Groodt :«L’adrénaline est une drogue pour moi !» [VIDEO]

L’homme qui a rendu sa popularité aux belles lettres et relancé malgré lui l’amour de la langue française dans l’opinion, a accepté de nous livrer quelques mots soigneusement choisis…

Un belge qui joue au couteau suisse est-ce tombé par hasard…en tous cas c’est par ici. Pilote de course, comédien, chroniqueur, acteur, réalisateur, Stephane De Groodt est un homme aux multiples casquettes et aux nombreux talents. A l’occasion de la sortie de Retour en absurdie, deuxieme tome de son recueil de chroniques, le phénomène littéraire a rencontré l’équipe de Booska-P pour un entretien riche de verbe et de sens.

Gainsbourg n’est pas loin du Rap

Bien qu’il reconnaisse ne pas être un auditeur de hip-hop assidu, Stephane De Groodt souligne tout de même son appétance pour certains lyricistes appartenant au mouvement des musiques urbaines : « Abd-Al-Malik est quelqu’un que j’aime bien en particulier, je trouve que c’est un virtuose des mots. A un moment, j’aimais beaucoup MC Solaar et même Gainsbourg qui n’est pas si loin du rap. J’aime certains raps, mais pas tous les raps » raconte-t-il

J’aurais pu être cosmonaute…

Définition même de la polyvalence au sens large, Stephane De Groodt a été pilote de course avant d’embrasser la carrière de comédien : « Depuis tout petit je voulais faire quelque-chose de différent, de passionnant…j’aurais pu être cosmonaute ou pompier ! J’ai été passionné très vite par la course automobile, je voulais faire parti de ces chevaliers des temps modernes. J’ai fabriqué des plats pour les livrer dans les restaurants pour financer mes cours de pilotages. C’est seulement bien plus tard que j’ai gagné des courses…Ma mère était pétrifiée de peur quand j’étais sur les circuits mais pour moi c’est moins dangereux que de prendre le périph' » se rappel-t-il.

J’ai besoin de cette montée d’adrénaline

Une fois retiré des circuits, l’homme a du trouver un métier à même de lui fournir la même intensité que la course automobile : « J’ai besoin de cette montée d’adrénaline…Du rideau qui s’ouvre sur la scène, de ce feu qui passe au vert sur la grille de départ…C’est une vraie drogue pour moi » confesse-t-il. Désormais orienté vers le septième art, l’artiste travaille actuellement sur son premier long-métrage dans la peau du réalisateur, un projet produit par Dany Boon.

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